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vendredi 9 mars 2018

une affaire trouble,le 9 mars 2018.


ON NE DIRA JAMAIS ASSEZ 
que la vie d'une association doit être transparente et démocratique .
L'association briochine "Wild rose" porte  depuis  1983 l'organisation et la programmation du festival annuel "ART ROCK" à Saint Brieuc.
Le directeur de cette association a porté à la connaissance du conseil d'administration de Wild Rose qu'il comptait prendre sa retraite après  trente cinq ans de labeur à cette responsabilité  de management.
Ce festival est depuis toujours  largement  subventionné et en particulier  pour  2017 par:
·        le conseil départemental du 22, pour une totalité  de  303 000 €.
·        la DRAC  pour  4 000 €
·        la Région Bretagne pour  100 000 €
·        la commune de Saint Brieuc pour 199 000 €.
·        Saint Brieuc Armor agglomération pour 90 000 €.

Autrement dit,  même si le festival se tient  à 25 km de notre commune, le contribuable Quinocéen  d'une manière ou d'une autre au travers des  différents collectivités territoriales  a  participé au montant de la subvention accordée au Art Rock.
Les subventions  pour  2017 (696 000 € ) représentent par rapport au budget dépenses ( 2 763 000 ) un pourcentage de 25 % et au budget en déficit des recettes ( 2 572 000 € ) un pourcentage  de 27 % .
Ce qui interpelle  autour du départ en retraite  du directeur du festival  Art Rock  est que cette  personne veut faire nommer à sa place sa propre fille et qu'en douce  sans prévenir il s'est approprié  la marque Art Rock en déposant sous son propre nom  la marque du festival  à l'Institut National de la  Propriété  Intellectuelle.
Et c'est là que les choses se compliquent, il réclame pour la  poursuite du festival sous le même titre,  l'octroi  d'une  somme annuelle  de 25 000 € .
Voilà où conduit l'absence de contrôle démocratique interne d'une association maniant des subventions  publiques  conséquentes .
Le népotisme du  directeur  d'Art Rock qui conduirait à quelque  confort pour sa retraite  et qui veut promotionner sa fille par de là la décision à venir   du conseil d'administration  de Wild Rose, asseoit  l'idée  que les collectivités territoriales  ne sont pas que de simples guichets distribuant  des subventions, elles doivent connaître  et comprendre  le fonctionnement  des associations demandeuses.

JOUNENT Michel.

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