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samedi 27 février 2016

une tâche sur la municipalité 27/02/2016

Dis-moi qui tu fréquentes,
 je te dirais qui tu es... 

LES BI-COMMUNAUX SONT DE RETOUR !!!
Ils commentent de nouveau sur le blog du délinquant.
Celui qui prétendait surfer anonymement en toute légalité  avec TOR  est autorisé  à me signer  un chèque de  500 €  pour me dédommager  d'avoir usurper  mon identité  et à payer  au Trésor Public une amende.
Pour un ingénieur, il ne semble  pas très ingénieux.  
Cette soif d'exister en commentant tout et rien sur un  blog en perdition  en dit  long sur  l'existence monotone   des deux derniers fidèles   du blogueur fou.  
Passons sur le fait qu'ils ne  peuvent pas se supporter; dés que le fana du Président "Normal"  flagorne le  locataire de l'Elysée  l'autre dégaine et rappelle vertement  quelques vérités d'évidences  .
Depuis que  le "Normal" est aux affaires ...il pleut et le jet  Sarko-one si décrié est tombé en panne du côté de Lima pour cause d'humidité dans ses circuits  électriques . Quelle guigne!!!
Bref, les bi-communaux balancent entre deux  amours  celui de notre commune et celui de  leur résidence principale, ils sautent d'un pied sur  l'autre  jusqu'au tournis .
Le Schpountz, personne submergée par ses certitudes et l'autre le rural briard qui s'ennuie depuis son retrait de la vie municipale de sa résidence  principale, son blog local d'ailleurs  appelant  à la révolte est  atone.
Ces deux  joyeux  drilles aiment Saint Quay , je  les comprends .
Qu'ils s'inscrivent sur la liste électorale, qu'ils revendiquent comme  moi par le suffrage universel une responsabilité dans  la municipalité;  ils ne feront pas  plus  mal  que  le blogueur fou.
Sur  les 20  conseils  municipaux de cette  nouvelle  mandature , le conseiller  municipal  délégué aux relations  publiques  a été  par  8 fois absents, les deux commentateurs ne feront pas  pire  et ils  pourront avec un peu de bagout obtenir comme  lui  de se faire  indemniser   de  200 € par  mois.
Pour quelle activité au fait le blogueur fou touche t-il une  indemnité ???
Décidément, cet intermittent du conseil connaît avec  le maintien de sa délégation plus que de la  mansuétude de la  part du maire de Saint Quay...
Mieux en déclarant dans  la  presse  que  "moi maire"  je ne retirerais pas  la délégation au conseiller  municipal sous le  prétexte que c'est une affaire  privée .
J'ai l'impression que  l'on nous  joue au niveau municipal le jeu d'enfant :  
je te tiens  ,tu  me tiens  par la barbichette , le premier qui parlera du passé sera .... 
Lu dans  "Le télégramme de Brest" du  27/02/2016.


JOUNENT Michel. 
Commentaire d'Octave:
 « Dieu merci, vous êtes rentré Monsieur Roques !», peut-on lire par ailleurs et nous voilà repartis pour les mondanités compassées du style : « votre commentaire me fait chaud au cœur » etc...Ma parole, ce n'est plus un blog, c'est un recueil de discours de réceptions à l'Académie Française, les fautes de français en plus....
Dieu merci Monsieur Roques, vous êtes donc rentré à temps pour payer les Dommages et Intérêts à Monsieur Jounent ainsi que l'amende à l’État pour usurpation d'identité. Au fond, cela ne représentera jamais que quelques mois de l'indemnité que vous octroient les contribuables quinocéens.
La réaction de l'usurpateur et de ses commensaux montre bien que, quoi qu'ils en disent, le blog de Michel reste abondamment lu et commenté.
Je reconnais, de mon côté avoir beaucoup ri à la lecture des nouvelles aventures de Tintin en Amérique, il ne manquait, parmi les poncifs que les gratte-ciels et les peaux-rouges...
Je reste néanmoins déçu, de n'y avoir toujours rien lu sur cette sordide et pitoyable affaire d'usurpation d'identité dont parle toute la presse locale.
Je note enfin que le niveau de l'humour qui y est pratiqué s'est encore élevé puisque maintenant on se moque du prénom de ceux dont on ne partage pas les idées.... les derniers sarcasmes de ce style remontent au CE2.
Commentaire de Yann Brekilien:
Ce n’est sans doute pas un hasard si un élu de la majorité du conseil municipal de Saint Quay-Portrieux , de plus délégué aux relations publiques, s’en est pris à la tranquillité de Michel Jounent.
On sait que celui-ci agace car, sur son blog, il a la fâcheuse «  manie » , certains même prétendent qu’il est fou, de ne pas développer une vision optimiste sur l’avenir et le présent de la petite cité. Cette vision n’est pas la ligne officielle , c’est le moins qu’on puisse dire.
Michel Jounent ne fait qu’utiliser le droit le plus strict de tout citoyen à s’informer et informer la population des affaires publiques la concernant. On a le droit de ne pas être d’accord avec lui, on n’a pas pas le droit d’entreprendre des manœuvres délictueuses dont le but évident est de le déstabiliser et de lui nuire.
Si l’acte délictueux venait d’une personne sans responsabilité publique, effectivement l’affaire pourrait être considérée comme privée, « extérieure à la vie municipale quinocéenne  » , mais venant d’un élu ayant une délégation au conseil, de plus celle des relations publiques, elle ne peut plus être considérée comme privée.
C’est pourquoi nous pensons que le maire de St Quay-Portrieux a tort de ne pas retirer à son élu sa délégation et nous pensons que l’élu a tort de ne pas démissionner.
Mais c’est vrai qu’aujourd’hui faire appel à la morale et la probité paraît ridicule. On dira ce qu’on voudra mais encore une fois l’impôt du contribuable paiera la faute de l’élu.

2 commentaires:

Octave a dit…

« Dieu merci, vous êtes rentré Monsieur Roques !», peut-on lire par ailleurs et nous voilà repartis pour les mondanités compassées du style : « votre commentaire me fait chaud au cœur » etc...Ma parole, ce n'est plus un blog, c'est un recueil de discours de réceptions à l'Académie Française, les fautes de français en plus....
Dieu merci Monsieur Roques, vous êtes donc rentré à temps pour payer les Dommages et Intérêts à Monsieur Jounent ainsi que l'amende à l’État pour usurpation d'identité. Au fond, cela ne représentera jamais que quelques mois de l'indemnité que vous octroient les contribuables quinocéens.
La réaction de l'usurpateur et de ses commensaux montre bien que, quoi qu'ils en disent, le blog de Michel reste abondamment lu et commenté.
Je reconnais, de mon côté avoir beaucoup ri à la lecture des nouvelles aventures de Tintin en Amérique, il ne manquait, parmi les poncifs que les gratte-ciels et les peaux-rouges...
Je reste néanmoins déçu, de n'y avoir toujours rien lu sur cette sordide et pitoyable affaire d'usurpation d'identité dont parle toute la presse locale.
Je note enfin que le niveau de l'humour qui y est pratiqué s'est encore élevé puisque maintenant on se moque du prénom de ceux dont on ne partage pas les idées.... les derniers sarcasmes de ce style remontent au CE2.

Yann Brekilien a dit…

Ce n’est sans doute pas un hasard si un élu de la majorité du conseil municipal de Saint Quay-Portrieux , de plus délégué aux relations publiques, s’en est pris à la tranquillité de Michel Jounent.
On sait que celui-ci agace car, sur son blog, il a la fâcheuse « manie » , certains même prétendent qu’il est fou, de ne pas développer une vision optimiste sur l’avenir et le présent de la petite cité. Cette vision n’est pas la ligne officielle , c’est le moins qu’on puisse dire.
Michel Jounent ne fait qu’utiliser le droit le plus strict de tout citoyen à s’informer et informer la population des affaires publiques la concernant. On a le droit de ne pas être d’accord avec lui, on n’a pas le droit d’entreprendre des manœuvres délictueuses dont le but évident est de le déstabiliser et de lui nuire.
Si l’acte délictueux venait d’une personne sans responsabilité publique, effectivement l’affaire pourrait être considérée comme privée, « extérieure à la vie municipale Quinocéenne » , mais venant d’un élu ayant une délégation au conseil, de plus celle des relations publiques, elle ne peut plus être considérée comme privée.
C’est pourquoi nous pensons que le maire de St Quay-Portrieux a tort de ne pas retirer à son élu sa délégation et nous pensons que l’élu a tort de ne pas démissionner.
Mais c’est vrai qu’aujourd’hui faire appel à la morale et la probité paraît ridicule. On dira ce qu’on voudra mais encore une fois l’impôt du contribuable paiera la faute de l’élu.