Pages

mardi 12 janvier 2016

usurpation d'identité 12/01/2016



LE FOURBE EST DANS LA NASSE...
Nouvelle et mauvaise  publicité pour notre commune, la lecture  du Télégramme de ce  jour est  alarmante  et  montre de la part d'un conseiller municipal  de la  majorité de bien curieuses manières .
Ce conseiller-délégué pourra t'il...  peut-il encore rester longtemps au Conseil Municipal ???

JOUNENT Michel.

Le Télégramme de Brest du 12 janvier  2016.


Commentaire de Forest Jean Michel:
Sur le blog "concurrent", les contributeurs au site de Michel Jounent et Michel Jounent lui-même reçoivent de doux noms d'oiseau : "crétin" , "fourbe", "pétainiste", "stalinien" et j'en passe, on suggère même parfois que nous sommes idiots, alors que nous ne faisons qu'exercer le simple droit de ne pas être toujours d'accord avec l'opinion générale.
Ce qui arrive en ce moment est encore la preuve qu'à St Quay-Portrieux, il vaut mieux être d'accord avec "les ceusses" qui ont pignon sur rue, sinon on s'expose à de bien tristes tracasseries.
Pour quand le changement ? 
Commentaire de Pauline Carton:
La loi ne permet pas qu' un maire puisse exiger la démission d'1 conseiller municipal, le maire précédent l'avait appris à ses dépens puisqu'il avait été débouté lors d'une procédure de "démission d'office" contre un de ses opposants, il appartient à l'élu, et à lui seul, de décider de rester ou pas au sein du conseil municipal.
En revanche, lorsqu'un maire accorde une délégation, c'est " sous sa surveillance et sa responsabilité" ( article 2122-18 ), il doit mesurer la portée et les conséquences des propos tenus par son conseiller délégué, la délégation "relations publiques" est elle concernée de près ou de loin avec la ou les procédures en cours? 2 articles de presse ayant traité ce dossier, cette affaire est devenue publique, le maire devra clairement exprimer sa position: Maintenir ou pas sa confiance à l'élu concerné.
Rester muet c'est approuver, ne dit on pas: "Qui ne dit mot, consent" ?

Bien à vous,

2 commentaires:

Jean-Michel Forest a dit…

Sur le blog "concurrent", les contributeurs au site de Michel Jounent et Michel Jounent lui-même reçoivent de doux noms d'oiseau : "crétin" , "fourbe", "pétainiste", "stalinien" et j'en passe, on suggère même parfois que nous sommes idiots, alors que nous ne faisons qu'exercer le simple droit de ne pas être toujours d'accord avec l'opinion générale. Ce qui arrive en ce moment est encore la preuve qu'à St Quay-Portrieux, il vaut mieux être d'accord avec "les ceusses" qui ont pignon sur rue, sinon on s'expose à de bien tristes tracasseries. Pour quand le changement ?

Pauline Carton a dit…

La loi ne permet pas qu' un maire puisse exiger la démission d'1 conseiller municipal, le maire précédent l'avait appris à ses dépens puisqu'il avait été débouté lors d'une procédure de "démission d'office" contre un de ses opposants, il appartient à l'élu, et à lui seul, de décider de rester ou pas au sein du conseil municipal.
En revanche, lorsqu'un maire accorde une délégation, c'est " sous sa surveillance et sa responsabilité" ( article 2122-18 ), il doit mesurer la portée et les conséquences des propos tenus par son conseiller délégué, la délégation "relations publiques" est elle concernée de près ou de loin avec la ou les procédures en cours? 2 articles de presse ayant traité ce dossier, cette affaire est devenue publique, le maire devra clairement exprimer sa position: Maintenir ou pas sa confiance à l'élu concerné.
Rester muet c'est approuver, ne dit on pas: "Qui ne dit mot, consent" ?
Bien à vous,