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vendredi 30 novembre 2012

le DOB 30/11/2012



LA DÉCLIN..GOLADE...CONTINUE!!!


La démographie est catastrophique sur notre commune.
On ne compte plus que 3 060 habitants pour notre ville, moins de 200 personnes en quelques années.
Le ratio entre les naissances et les décès est sans appel, pour 10 naissances , 100 personnes décèdent sur le territoire de la cité.
C'est une ville qui se meure, c'est un commerce de proximité en plein marasme et c'est aussi poser la question de savoir si notre ville sera demain encore classée comme station balnéaire???
L'accueil hôtelier n'est pas à la hauteur pour fixer pour plusieurs jours et régulièrement le tourisme de passage.
Il y a moins d'enfants fréquentant l'école publique et la jeunesse fait défaut pour donner un peu d'animation hors saison estivale.
Les maisons et logements en vente sont nombreux mais toujours trop chers pour des primo acquérants et la rénovation des trois quartiers de la ville se fait attendre.
Le déclin et la dégringolade économique de Saint Quay Portrieux sont maintenant visibles par tous.
La municipalité ne peut, certes , pas régler tous les problèmes; elle ne peut pas se substituer aux commerçants mauvais gestionnaires de leur affaire et elle ne peut pas non plus acheter les murs de tous les commerçants en détresse.
A ce sujet , le maire a fini par reconnaître qu'il fallait revendre au plus vite les murs du commerce de presse du Portrieux achetés pour 100 000 € en octobre 2010.
Cette aventure, sortie tout droit de la réflexion d'un maire par trop souvent absent de la commune, voit sa fin; elle se termine en "eau de boudin".
C'est triste pour un maire qui a mené "de si brillantes" réalisations en Afrique.
Cette mandature laissera chez les Quinocéens un très mauvais souvenir; elle sera aussi celle des dissensions, des querelles et surtout celle d'un maire autoritaire et absent de la ville plus que de raison.
L'élection complémentaire, demandée par le maire en septembre, par son résultat, a comme qui dirait, "assommé " Dominique Blanc, le désaveu qu'il a reçu l'a conduit à s'enfermer dans ses certitudes.
Celles d'être entouré d'élus déloyaux en ce qui concerne ceux de la liste "Autrement " et de personnes avec lesquelles il ne veut pas travailler... les 7 nouveaux élus.
Même, s'il a concédé l'élection des adjoints (3 nouveaux et 3 anciens ), il refuse obstinément de préciser les secteurs de travail de chacun.
Il s'asseoit, au delà du raisonnable, sur les principes élémentaires de la démocratie, ceux qui, au travers de notre histoire nationale, disent que c'est la majorité qui dirige, en l'occurrence, une collectivité territoriale.
Chaque jour qui passe est un jour perdu pour remettre en route notre municipalité et tout cela, nous le devons à notre maire ,"Monseigneur" Dominique Blanc.
Hier soir, 17 élus ont entendu le maire présenter le budget d'orientation pour l'établissement du compte primitif 2013.
Si la situation de notre commune n'était pas si dramatique, il y aurait matière à sourire tellement on est loin de la réalité quinocéenne.
Et en particulier, après avoir signé il a plus d'un an un permis de construire pour un bâtiment comprenant des commerces, des bureaux, des salles de réunions sur 3000 m2 sur le terre plein du Port d'Armor, M Blanc s'inquiète des conséquences d'une telle construction sur le commerce de proximité du quartier du port.
Voilà où mènent les absences du maire de sa commune ; il se coupe toujours plus de la ville dont il a la responsabilité et son souci à cette heure est de garder "sa charge indemnisée".
De plus, dans ce débat d'orientation budgétaire (DOB), la discussion n'a pas brillé par sa pertinence, les orientations pour sortir la ville de son déclin sont inexistantes.
Et puis toujours cette réaction méprisante    voire humiliante  à l'égard des élus, de constater que le maire a encore quitté précipitamment la réunion???

Au bout d'une heure trois quart de cette réunion, il a montré de nouveau des signes de fatigue et d'énervement.
Après près de 15 jours d'absence et son nouveau refus de faire avancer la remise en marche du conseil municipal, il y a de quoi s'inquiéter sur les ressorts qui animent M Blanc.
Après un tel DOB, il est difficile de ne pas dire que sa présentation    
"C'est de la daube".

JOUNENT Michel , adjoint au maire brillamment élu contre l'adjoint à l'urbanisme sortant.

dimanche 25 novembre 2012

Paris siège de la mairie 25/11/2012



Les nouveaux "MYSTÈRES DE PARIS"





Durant tout ce mois de novembre, le maire a très peu séjourné dans notre commune.
Brièvement pour les obsèques de l'ancien maire François Hery, d'une façon expéditive pour la commémoration du 11 novembre et quelques jours pour la tenue d'un conseil municipal extraordinaire du 15 novembre.
M Blanc a saisi toute l'importance de l'usage d'un blog et depuis plusieurs mois, il délivre sur le sien, dénommé " livre blanc", un monceau de noirceurs sur l'activité d'une partie de son opposition municipale et de virulentes attaques contre plusieurs conseillers municipaux.
Il reprend pour cela la vieille pratique éculée, celle de produire des fausses informations.
Il a fait sien l'adage qui dit que
"plus un mensonge est gros, mieux il passe".
C'est navrant.
Par exemple, autour du carburant, le matériel roulant de la commune n'a jamais cessé de circuler en ville faute de carburant.
Sur les secours à réaliser faute de camions, les arbres ne sont pas tombés sur la chaussée et la neige n' a pas fait de congères dans les rues désertes de la ville.
Par contre, quand il assène les termes d'irresponsables envers des élus, il ferait bien de se positionner devant un miroir.
Parce qu'il n'a pas digéré la modification de l'aménagement urbain du casino, il freine des quatre fers afin que les travaux ne reprennent pas.
Le 31 octobre, avec beaucoup de retard, la majorité a voté une délibération pour une étude supplémentaire (12 000 € environ HT) sur cet aménagement , le maire a signé la délibération mais a omis de signer l'avenant pour des raisons partisanes et comme il fallait respecter la procédure et les délais, il s'est souvenu qu'il avait des adjoints... pathétique...
Il refuse de donner des délégations de signature à ses adjoints et des secteurs d'activité bien précis mais il sait leur tendre des chausse-trappes au prétexte qu'il est retenu sur Paris.
Le climat se dégrade à la mairie, des élus anciens et des nouveaux semblent déjà oublier que l'élection de septembre a été en quelque sorte un référendum montrant que les quinocéens rejetaient la gestion et les méthodes de M Blanc.
La discussion sur le budget primitif est insensée au train où il veut l'imposer à ses colistiers.
En faisant chevaucher budgets primitifs et comptes administratifs, il rend incompréhensif la gestion de la commune.
En 2012, les élus ont voté le compte administratif 2011, le 28 mars 2012 et le compte primitif 2012 , le 16 février 2012, faisons au moins pareil pour cette année 2013.
Assez de confusions dans cette assemblée communale!!!
En 2009, le conseil municipal avant d'exploser, avait voté en mars d'abord le compte administratif avant le compte primitif , c'était marqué par le bon sens.
Cette année, avec les reports des budgets non réalisés et le changement de statut du cinéma, le budget annexe de ce dernier passant d'une régie municipale avec un déficit substantiel à celui d'une gestion par DSP, l'ensemble des comptes ne seront pas des plus simples sans oublier qu'aprés l'abandon des avances remboursables, il faudra bien, même avec un jeu d'écriture, faire rentrer cette somme abandonnée de 2.5 millions dans la comptabilité municipale.


Une chose préoccupante m'est apparue le soir du 31 octobre , le maire a brusquement arrêté le conseil municipal, prétextant un gros coup de fatigue.
Personne n'ignore que le M maire a rencontré en 2009 un sérieux souci de santé.
Ses absences de plus en plus nombreuses hors de la ville ont-elles un lien avec ce problème d'hier?
Rassurez-nous, M le maire, sur votre état de santé, cela évitera d'entendre n'importe quoi sur vos absences de plus en plus nombreuses !!!


JOUNENT Michel , adjoint au bon vouloir de monseigneur, le premier magistrat.

jeudi 22 novembre 2012

budget primitif 2013 22/11/2012

POURQUOI TANT DE PRÉCIPITATION???

Si l'on suit le maire, le budget prévisionnel 2013 doit être voté pour le 19 décembre 2012.
Depuis le 9 septembre 2012, le conseil municipal est renforcé par sept nouveaux membres.
On ne peut pas dire que le maire a fait beaucoup d'effort pour mettre les nouveaux conseillers à la tâche et au courant des affaires municipales.
Les adjoints n'ont pas de secteur de travail et, à la veille de la discussion du budget primitif 2013, nous, les nouveaux élus, nous ne croulons pas sous les documents et les directives pour préparer cet acte primordial de la vie de notre commune.
La proposition de plusieurs élus devant cette situation est de préparer une espèce de contre budget en questionnant le personnel administratif, en lui demandant des éléments comptables et en s'appuyant sur le compte primitif 2012.
Pour les nouveaux et même pour les anciens élus , l'établissement du compte prévisionnel n'est pas des plus simple et, sans la pédagogie et l'aide des experts en la matière, beaucoup d'élus font un peu mais surtout beaucoup de figuration lors du vote.
Dans cette affaire , le maire, "le concepteur à lui seul du projet " a un rôle très important à jouer pour le faire comprendre ou partager, or ce n'est pas le cas , il est de plus en plus absent de Saint Quay Portrieux et il pense plus que de raison à faire des tours pendables à ses colistiers.
Les textes rappellent ainsi que le Préfet des Côtes d'Armor, que le budget primitif 2013 doit être voté avant le 31 mars 2013.
Les textes rappellent aussi que le compte administratif clos à la fin de l'année doit être approuvé par le conseil au plus tard à la fin juin de l'année suivante.
Depuis 2009, on constate qu'il n'y a pas de régularité dans le temps pour la discussion et le vote du budget principal et des budgets annexes prévisionnels , il en est de même pour l'ensemble des comptes administratifs.
En reprenant les procès verbaux des conseils municipaux, j'ai dressé le constat de ces fantaisies à tout mélanger.
le 5 mars 2009: adoption des comptes administratifs 2008 sauf le compte du budget annexe de l'aire de carénage.
le 11 mars 2009: vote des budgets primitifs 2009, suivi de 6 élus qui présentent leur démission, ensuite le reste du conseil votera les taux des 3 taxes directes locales 2009.
le 25 février 2010: vote des budgets administratifs 2009, principal et annexes, vote des taux des 3 taxes directes locales et vote des budgets primitifs 2010.
le 17 décembre 2010: vote des budgets primitifs 2011 ; principal et annexes et vote des taux des 3 taxes directes.
le 17 mars 2011:vote des budgets administratifs, principal et annexes 2010.
le 16 février 2012: vote du budget primitif, principal et annexes 2012, vote des taux des 3 taxes directes locales.
le 28 mars 2012: vote du compte administratif , principal et annexes 2011.
Avant le délai à respecter, celui du 31 mars 2013 pour voter le budget primitif 2013, donnons du temps au temps en faisant à la fois l'apprentissage de notre mandat électif et la démonstration que la réalisation d'un projet primitif est l'affaire de tous les élus.
Mon refus de voter ce budget est en rapport direct avec cette manière à la "hussarde" de M Blanc de tracer sans concertation, à partir de Paris, les lignes principales de ce projet de budget primitif.
Au conseil municipal "prévu" pour le 19 décembre , des points importants demandés par les élus sont à voter, des commissions essentielles sont à mettre en place , la délibération, sur l'abandon des avances remboursables, doit connaître son épilogue et la réorganisation de la municipalité toujours à l'ordre du jour doit se faire; aussi, il n'est pas interdit de penser que le report du vote de ce budget primitif allégerait à l'évidence ce copieux CM.
Alors, de grâce, M le Maire, faites nous connaître aussi le pacte de cohabitation minimale souhaité par la Préfet, faites nous connaître la cadre de votre conception de la cohabitation fructueuse et ponctuelle et puis, surtout, restez à Saint Quay pour organiser une vie "normale " de la Municipalité.



JOUNENT Michel adjoint très "zen"qui attend le résultat du délibéré du TGI de Nantes (13 décembre 2012 ) dans l'affaire qui m'oppose en justice au maire.

mardi 20 novembre 2012

l'embrouille 20/11/2012





DODO L'EMBROUILLE!!!


Le maire n'a pas digéré sa défaite électorale du 9 septembre et, depuis, il multiplie les entorses à la vie démocratique de la municipalité.
Dix jours pour réunir le conseil municipal après ce camouflet; c'est vrai qu'il n'était pas pressé d'entendre une majorité d'élus s'opposer à la destruction du minigolf.
Ensuite, quarante jours pour mettre à l'ordre du jour les conséquences du maintien du minigolf , autrement dit le vote d'un avenant au contrat de maîtrise d'oeuvre nécessaire au changement partiel de l'itinéraire du Bd du Général De Gaulle à la hauteur du casino.
Le maire a fait planer sur cette décision du conseil la possibilité d'un contentieux; le conseil est passé outre et s'est bien gardé de recevoir la leçon de notre spécialiste en coups tordus.
Il s'est encore passé vingt jours pour que cette délibération soit à la signature et, patatras, voilà t'y pas que le maire se rend compte qu'il n'est pas à Saint Quay !!!
Il fait le "beau" au Congrès des maires à Paris , il veut que ses collègues voient de plus près celui par qui le scandale arrive.
Roublard comme jamais , il se souvient, tout à-coup, depuis Paris, qu'il a une première adjointe.
C'est à elle de signer la délibération et le DGS en personne fidèle des fidèles des causes perdues , rappelle à cette dernière les devoirs de sa charge.
Si demain on apprend que la première adjointe n'est pas joignable , ce sera au deuxième adjoint et puis, pour la même raison, au troisième, etc, etc...
J'ai bien peur que dans le contexte actuel de la municipalité, la signature ne me revienne alors que je  n'ai pas de  délégation.
Aux dernières nouvelles, cela s'est arrêté à G Brezellec, il a signé la délibération.
Le budget est l'acte le plus important d'une municipalité; il porte la volonté des élus à réaliser le meilleur pour qu'il fasse bon vivre dans la commune et puis, surtout, il est l'expression d'une vue à long terme pour créer en ce qui concerne notre cité les moyens d'arrêter son déclin.
Le budget, sa discussion semblent prendre les mêmes chemins que les années précédentes, la dernière commission des finances remonte à Mathusalem, les nouveaux élus sont au courant de pas grand chose pour ne pas dire de rien, sur le budget 2012 personne n'est au courant du niveau de sa réalisation, et bien sûr les différentes commissions n'ayant plus d'activité on est dans le brouillard le plus absolu.
En trois semaines le budget primitif doit être voté , au pas de charge pour faire court.
Débat budgétaire le 29 novembre.
le 6 décembre commission sur le fonctionnement.
le 11 décembre commission sur les investissements.
Le 19 décembre vote du budget, à la veille des vacances de Noel... attention au quorum!!!
Sur le probléme du cinéma et de son budget annexe, le maire a décliné ma demande écrite lui demandant l'accès à l'ensemble du dossier: études, investissements, subventions, emprunts et fonctionnement avec les contrats d'embauches, les salaires etc.
Il en est de même pour le reste et en particulier pour le domaine de la distribution des subventions aux associations et à l'office de tourisme.
On appelle au vote d'un budget prévisionnel ou primitif 2013 dans des conditions exécrables.

Enfin je voudrais tordre le cou à cette idée fumeuse: la cohabitation.
Elle n'est pas gravée dans les tables de la constitution et elle n'existe pas dans le Code générale des collectivités territoriales.
Transférer ce qui se passe à la hauteur de la Présidence de la République avec un gouvernement de sensibilité politique opposé n'est pas sérieux pour une commune
Une direction partagée, c'est d'avance courir à l'échec et monsieur le maire le rappelait dès le premier coup de chauffe avec son conseil en décembre 2008.
Il disait "qu'il ne peut pas y avoir deux pilotes dans l'avion" et chacun peut retrouver l'intégralité du déballage devant le public des problèmes internes qui ont miné dès l'origine cette liste sur le blog municipal (conseil municipal du 11/12/2008)
Au niveau national , pour ceux qui s'accrochent à la cohabitation, il y a en eu trois sous la cinquième République.
Du temps du Général, la cohabitation était hors propos.
Du temps de Mitterrand , il y en a eu deux de 1986 à 1988 avec Chirac et de 1993 à 1995 avec Balladur.
Mitterrand, farouche adversaire et pourfendeur de la V ème République, (on se souvient de son livre "Le coup d'état permanent") trouva les ors et dorures de la République à son goût et il oublia au soir de ses défaites électorales le verdict des urnes comme l'aurait fait le Général.
C'est vrai que dans les palais de la République, il avait de la famille à loger.
En 1997, Chirac et son super conseiller Villepin dissolvent l'assemblée, cinq ans de cohabitation avec Jospin.
C'était tellement bien cette période, qu'à la fin du mandat du Président Chirac, les électeurs pratiquant l'exception à la française ont provoqué un deuxième tour entre Chirac et l'extrême droite.
La honte  pour  le  pays et  la démonstration que  les électeurs se sont sentis  encore trahis par ces sortants , diseurs de bonne aventure.
Merci la cohabitation et, pour ceux qui veulent savoir à quoi ressemble la cohabitation vu de l'intérieur, lisez le bouquin du directeur de Cabinet de Jospin "Matignon rive gauche" d'Olivier Schrameck et vous saurez tout sur les effets de la cohabitation au plus haut niveau et surtout qu'une France à deux voix est le pire des régimes pour notre pays selon  ce conseiller d'Etat , ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.

Alors assez, M Le Schpountz de Beaurecueil,(13) assez de crotter mon blog avec votre servilité "de porte-coton".
Sachez, M le canavérois dit BB , que j'imprime vos propos d'illuminés et on s'expliquera devant la justice le temps venu.
Vous ne comprenez rien à la situation de notre commune et votre allégeance au maire est pitoyable.



JOUNENT Michel qui se prépare à son procès contre M Blanc.

lundi 19 novembre 2012

l'impasse de tous les soucis 20/11/2012

FIN DE NON-RECEVOIR.

On a enfin trouvé la solution à la crise qui paralyse Saint Quay depuis des mois.L’élection partielle ayant échoué à sauver le soldat Blanc, il faut passer à autre chose. Le nouveau remède miracle s’appelle : « le pacte de cohabitation minimale ». les trois mots font problème :pacte, cohabitation, minimale.                  
Le pacte avec le diable est très codifié : il est écrit sur un parchemin animal avec une signature de sang.  « Si vous jurez, tenez votre engagement, il ne vous trompera pas, le rustique ami ». On peut faire confiance au diable, quel crédit accorder à la parole de DominiqueBlanc ???                                                                                                                                

La cohabitation est le scénario du pire. Un membre du conseil constitutionnel a qualifié la cohabitation de pire des systèmes, la comparant à Prométhée dont la lutte contre lui-même est symbolisée par l’aigle qui lui ronge le foie.

Il faut mettre fin à ce régime idiot et débilitant,estime un politologue.                                                                                                                                                                       

La cohabitation est toujours une épreuve, un système où quelques-uns se rendent quelques services, où l’on se montre les dents derrière le sourire, bref, des petits arrangements entre amis. La mélasse de la cohabitation ne protège pas le citoyen.
Elle le livre à la jungle des pouvoirs de fait et aux brumes des décisions illégitimes.                                                                                                                    

Au plan juridique, c’est une absurdité. Que signifie un conseil municipal qui gérerait « a-minima » les affaires de la commune ? quel est le caractère opératoire de ce bricolage ? Où sont les textes ? Ce système de fait n’a aucune légitimité au plan local.  La commune en a assez de ces improvisations hasardeuses. C’est ainsi que l’on perd le respect des élus.                                                          
La situation est pourtant simple : à St Quay les élus ne servent à rien, les adjoints à rien, ils  n’ont aucune existence.
On s’observe, on se surveille, on échange des propos acides avec un maire vaincu du suffrage universel.
Le contrôle, c’est la belle endormie. L’ennui délétère s’installe. La commune est paralysée, emmêlée, obsédée par l’effet médiatique de ses actes. La chose locale est avalée par les polémiques.Une situation indigne d’un état de droit. C’est peu dire qu’il n’y a rien à attendre d’une cohabitation « a minima » qui relève de l’effet d’annonce. 
Il s’agit, faut-il encore le répéter,  de rétablir la légalité républicaine. On ne gouverne pas dans le dos des citoyens. La dissolution est paraît-il une hypothèse envisageable.
On finit par la souhaiter.

ROCFORT Michel, adjoint à rien.

dimanche 18 novembre 2012

vivement la fin 19/11/2012




INVENTAIRE SUR LE FONCTIONNEMENT
DE LA MUNICIPALITÉ.




Depuis 2008, nous avons, nous, les quinocéens, un maire omnipotent.
Il s'occupe de tout ,il n'écoute personne et il délègue de moins en moins.
A l'inverse, il n'est pas omniprésent dans notre charmante station .
Il demeure de plus en plus longtemps à Paris, lieu de son habitation principale.
Cela lui évite pour l'instant de mettre en musique les recommandations du Préfet qui appelle à une ridicule cohabitation à minima.
L'exercice de son pouvoir sur l'administration communale passe par l'intermédiaire de son DGS.
Celui qu'il appelle "Philippe" a tous les pouvoirs depuis qu'il a récupéré les délégations de signatures de la première adjointe Mme Poignonnec.
Ce DGS joue les cerbères, il cadenasse l'accès à l'information, il est, suite aux nombreuses absences du maire, devenu le maire bis.
Depuis l'élection complémentaire du 9 septembre, le conseil municipal est au complet, aucun des nouveaux élus n'a volé sa place au sein du conseil.
Le 31 octobre, le maire a fini par organiser la réélection des adjoints, des conseillers au sein des différents organismes extérieurs à la commune, dans le cadre de la Communauté de communes, à faire élire les représentants de la commune et à reconstituter les commissions.
Les 6 adjoints, à ce jour, n'ont aucun secteur d'activité et évidemment aucune délégation de signature.
Les 16 autres conseillers municipaux, bien qu'affectés à différentes commissions, ne réalisent aucun travail pour le bien de la population.
Reste le cas de G Brezellec; il a passé sans trop d'encombre les différentes configurations du conseil municipal.
Aujourd'hui, il est un électron libre dans ce conseil municipal.
C'est d'autant plus facile pour lui qu'il est vice-Président de la Communauté de commune avec toutes les prérogatives de sa responsabilité.
Il domine le problème de l'installation de la base de maintenance d'un futur champs d'éoliennes marines.
Il a formé avec un petit collectif les moyens d'emporter la décision face aux villes portuaires concurrentes.
Il est persuasif et pédagogue pour expliquer le problème des avances remboursables.
Il a su provoquer une réunion avec la CCI et des représentants du CG 22 pour convaincre les indécis du conseil qu'il n'y avait pas d'autre solution que l'abandon de la somme rondelette ( 2.5 millions d'euros) représentant les avances remboursables.
Le samedi 17 novembre, il a été efficace pour expliquer les conséquences dès la fin 2013, de l'abandon par la CCI des zones sous concédées pour la pêche dans le port d'échouage.
Je résume: un maire qui téléguide son action depuis Paris, un DGS aux ordres, 21 élus qui errent l'âme en peine à l'hôtel de ville et un adjoint autonome...
Si demain la base de maintenance s'installe à SQP, la gloire et l'aura seront pour le maire; dans le cas contraire, G Brezellec sera le seul responsable de l'échec de cette candidature.
Voilà, en gros, l'exposé qui montre l'état de déliquescence de notre municipalité et pour moi cela ne peut plus durer.
J'ai lu avec curiosité toutes les remarques  sur la gestion des deniers publics; celles de Mme Salaun, responsable des finances dans la mandature de G Lambotte; j'ai relu les démonstrations du donneur de leçons, le trésorier de Lanvollon ...un vrai rigolo celui-là.
Et puis, délice absolu par celui qui se fait appeler Bruhat sur Leq et anonyme sur mon Blog, j'ai trouvé le chemin de la raison; il faut récupérer nos avances même si cela doit prendre 200 voire 400 ans.
Il faut écouter la vox populi à les entendre et bien, je vais y songer.
Fini de recevoir dans le cadre de mon bénévolat des remarques désobligeantes, fini d'aller vers ceux qui font fonctionner leur intelligence. 
Je suis outré au lendemain de la visite d'une délégation d'élus chez le Préfet, de constater qu'il est impossible de faire respecter en s'adressant à ce dernier, le droit et l'application du Code général des collectivités territoriales.
Je ne veux plus participer, même de  loin, à la gestion infernale de la commune et c'est pourquoi  j'ai la ferme intention de ne pas voter le budget primitif 2013.
Et avec d'autres élus, j'inviterai  le Préfet,  sur  la base objective du refus  majoritaire,  à ne pas voter le budget, à ce qu'il organise  la dissolution  de la municipalité et  le retrait de  la vie  municipale   du maire...  enfin!!!
J'appelle mes amis, les conseillers municipaux, à me rejoindre dans cette action salvatrice  pour la commune et ses habitants.

JOUNENT Michel.

samedi 17 novembre 2012

elle est lourde à porter l'absence du maire18/11/2012



A Saint Quay Portrieux,
LA DEMOCRATIE MUNICIPALE
EST MALADE.

Elle est malade par l'acharnement d'un maire qui ne respecte pas le fait majoritaire.
La démocratie, quelque soit sa place dans l'organisation de la société, est une création continue.
Sans le respect des électeurs, la démocratie est condamnée à s'éteindre, ici et ailleurs.
Devant le capharnaüm quinocéen, les journalistes font dire au Préfet que l'heure est venue de siffler la fin de la partie !!!
Le Préfet a saisi l'occasion de la réception d'une délégation d'élus pour inviter les deux fractions formant le conseil municipal à établir ...
"un pacte de cohabitation minimale".
C'est nouveau, cela vient de sortir, c'est original, ce concept, pour gérer une municipalité!!!
Cette proposition du Préfet est singulière, elle marque de sa part le moyen de mettre un terme sans doute provisoire à la mauvaise histoire de notre municipalité qui dure depuis maintenant trop longtemps.
Les six adjoints élus le 31 octobre , les conseillers faisant partie des multiples commissions ne demandent qu'une chose : se mettre au service de la commune.
Dans ce pacte de cohabitation minimale , si chaudement réclamé par le Préfet, il serait bon d'entendre ou de lire enfin le cadre précis et les propositions du maire pour sortir la municipalité de l'ornière.
Au maire continuellement absent, j'adresse un courrier pour obtenir ces précisions voila où j'en suis pour communiquer avec M Blanc.

JOUNENT Michel, adjoint à la poursuite du temps perdu.

vendredi 16 novembre 2012

dissolution 16/11/2012



Un éclairage sur les médias :




Le 16 novembre 2012  à 17 H, les auditeurs de France -Bleu Armorique ont pu entendre les propos suivants du Préfet:
Il demande aux deux parties de s'entendre sur un pacte de cohabitation minimale et indique que la dissolution n'est pas pour  l'instant  à l'ordre du jour mais qu'elle est envisageable.

JOUNENT Michel, adjoint qui réfléchit et écoute.

jeudi 15 novembre 2012

coup tordu 15/11/2012





Tortueux , ou .. tordu .. ???




On a du mal à comprendre le fonctionnement de l’intellect chez notre « lider minimo »
1/ Il convoque en urgence un Conseil Municipal « extraordinaire »
- pour notamment voter une décision modificative au Budget général (« essentielle pour le fonctionnement normal des Services » dit-il dans son blog) , décision qu’il a obstinément refusé de soumettre au vote du Conseil Municipal du 6 Novembre dernier !! ( y a t-il eu des grognements dans les services municipaux ??)
mais il omet volontairement de mettre au vote l’abandon des avances remboursables du Port , alors que ce point n’a pas été  soumis aux élus depuis la réunion d’information du 9 Octobre avec la CCI . Or il y a urgence !!
et il « oublie » de poursuivre l’ élection des représentants de la Municipalité au CCAS , à la Commission d’appel d’offres et à la Commission Délégation de Service Public (loi Sapin) , vote que l’ensemble des élus , maire compris , avait accepté de reporter lors du Conseil du 6 Novembre dernier
2/ il se plaint que la municipalité ne fonctionne pas à cause du blocage de sa majorité d’opposition , et en même temps il n’a toujours pas attribué de délégations aux adjoints démocratiquement élus le 26 Octobre dernier , empêchant ainsi la réunion des Commissions pourtant indispensables au fonctionnement de la municipalité
On ne saisit pas bien l’idée générale qui guide notre premier magistrat , mais je crains que " derrière ce flou.. il n’ y ait un loup"

 MORICE Bernard,Conseiller municipal bien peu utile.

avances rembousables (suite) 15/11/2012




AVANCES REMBOURSABLES!!!


Dans notre belle commune, les commentateurs de tout poil ne manquent pas.
Comme partout, les ultra lucides de la vingt cinquième heure montrent le nez et distribuent à tout va les solutions pour régler le problème de l'avance d'une somme encore non précisée tournant autour de 2.4 millions d'euros.
Ces prêts se sont déroulés pendant 15 ans, autrement dît sous la direction municipale de quatre maires, Hery, Heurtel, Allenou et Lambotte.
Ces trois derniers maires ont connu et combattu les prétentions de la CCI à se payer sur la bête. (la commune de Saint Quay)
Ces maires et leur adjoints aux finances connaissaient et surtout savaient l'état des finances de la CCI et de la criée.
On cherche encore à retrouver leur alerte pour prévenir les quinocéens de cette situation.
La criée est dans l'incapacité de rembourser les sommes empruntées, les bénéfices qu'elle dégage sont très minces avec de plus un avenir très incertain pour la pêche côtière et hauturière.
On avance du côté de la CCI un délai pour rembourser oscillant entre 140 et 400 ans.
G Brezellec a exposé sur mon blog un article complet sur cet emprunt ou subvention de la CCI. (avances remboursables du 3/11/2012).
Il est souhaitable pour certain de dépasser leur problème personnel par rapport à cet élu , cela leur permettra en relisant ses explications de prendre un peu de hauteur dans ce débat difficile.


JOUNENT Michel, adjoint définitivement instruit sur les turpitudes de son maire.

mardi 13 novembre 2012

le déclin 13/11/2012


Ne nous voilons pas la face,

le commerce local ne va pas fort
à Saint Quay Portrieux.




Place de la plage, sur le chemin des douaniers, le restaurant "SUN DECK", récemment relooké, est fermé depuis le 28 octobre 2012.
Un commerce de vêtements, rue Jeanne d'Arc, est en cessation d' activité.
L'ancienne boutique de presse du Portrieux, propriété de la commune, est toujours sans locataire; de plus, elle devient l'objet de violences; en effet, des voyous ont détruit l'une de ses vitrines.
Plus d'un an après l'ouverture du cinéma , la création d'une régie publicitaire se fait toujours attendre.
Elle n'aurait pas fait des miracles mais elle aurait certainement permis d'indiquer aux spectateurs n'habitant pas la commune qu' après une séance de cinéma, des restaurants, des crêperies, un casino sont ouverts pour terminer agréablement une soirée.
Le restaurant "Sun Deck" a brutalement, par sa fermeture, mis son personnel à la porte
Ces personnes ne sont pas payées depuis un mois et demi, le gérant est difficilement joignable et ses manières de mener la suite de cette fermeture sont insupportables.
Il demande en particulier à son personnel d'accepter la transformation des CDI en CDD pour s'exonérer du paiement des primes de licenciement.
Les personnels n'ont pas, à l'heure actuelle, les documents nécessaires pour faire valoir leurs droits ou pour s'inscrire à "Pole emploi".
Un autre problème se pose à ce restaurant, le gérant a multiplié les travaux depuis près de deux ans sans déposer de permis à la commune.
Le gérant connaît depuis un certain temps des rappels des services de l'urbanisme de la ville.
Pour revendre cette affaire, il faudrait se mettre en conformité avec les obligations de tout un chacun et cela n'en prend pas le chemin ...Hélas.
Le maire n'est pas responsable de ces cessations d'activités mais il pourrait, à un moment ou des travailleurs sont sans ressources, montrer de l'intérêt à cette détresse.
Il pourrait par exemple enjoindre le gérant à respecter le code du travail; pour cela, il faudrait qu'il soit sensible au sort des plus faibles à Saint Quay Portrieux.
Il préfère faire des aller et retour vers sa résidence principale ou jouer au tennis plutôt que de ressentir la vraie vie de ses concitoyens à l'intérieur de la commune.
Ce sont ses choix mais déjà, sans s'occuper de la qualité de son opposition majoritaire au conseil, il est notoire qu'après l'élection de septembre, la majorité des quinocéens ont soupé de ce maire vindicatif et peu opérant pour le bien de la ville et de ses habitants.

JOUNENT Michel, adjoint en lévitation.

lundi 12 novembre 2012

CM DU 15/11/2012

convocation du conseil municipal
en URGENCE.
pour le  jeudi 15 novembre  à 18H30
3 points  à l'ordre du jour:
1/le caractère d'urgence  de  la réunion du conseil
2/budget général -DM N°5
3/budget annexe cinéma-DM N°4

anonymes de tous pays 12/11/2012





SUR MON BLOG...





J'ai ouvert une rubrique "commentaire"... et j'en suis le modérateur.
Tout le monde peut intervenir sur mon blog ... mais seulement à visage découvert.
La possibilité d'utiliser un pseudo est aussi possible; c'est une possibilité que je propose aux personnes qui, pour des raisons X ou Y, ont besoin de rester en dehors du débat publique afin de ne pas connaître éventuellement des déboires dans leur vie professionnelle ou privée.
Bien sûr , il est normal que derrière un pseudo , je sache l'identité de ces prudents.
On n'est pas en guerre civile à Saint Quay Portrieux, la joute est rude mais pas mortelle.
A bientôt les courageux encore sous la burqa ou qui recherchent toujours la boite aux lettres de la Kommandantur.
Quant à la rencontre de la population avec les élus, c'est pour ceux qui ne veulent pas encore mesurer l'étendue des dégâts.
Sur place , ils verront à quoi ressemble la désorganisation complète de notre municipalité.


JOUNENT Michel, adjoint d'un fantôme.

le sabordage 12/11/2012





ETAT DES LIEUX...





La municipalité, c'est un maire aux ailes rognées depuis la suppression de la moitié de ses délégations.
La direction municipale c'est aussi et malheureusement un maire trop souvent absent surtout quand la grande famille quinocéenne est touchée par un terrible drame.
A la tête de la commune, c'est un premier magistrat qui continue de recevoir des indemnités.
Les élus, dans leur grande majorité, s'interrogent sur le bien fondé de ce traitement en regard du travail fourni.
Depuis le 31 octobre 2012, autour du maire (façon de parler), le conseil municipal a élu 6 adjoints.
Le maire, n'ayant toujours pas digéré sa défaite électorale du 9 septembre, refuse de désigner à ses nouveaux adjoints un secteur d'activité.
Il refuse aussi de leur donner des délégations, les privant par là même d'indemnités.
La conséquence immédiate de cette attitude est qu'il n' y a aucun adjoint pour présider les commissions municipales.
Les conseillers municipaux sont à la date du 11 novembre " toujours l'arme à la bretelle", ils ne servent à rien.
La municipalité est paralysée, l'ordre du jour des conseils municipaux est la seule affaire du maire .
Le prochain conseil est annoncé sous toute réserve pour le 13 ou le 15 décembre 2012.
Que de temps perdu!!!
Aux Quinocéens qui souhaitent une cohabitation, en l'espèce, ce n'est pas le dernier battu au scrutin universel qui dicte sa loi.
La cohabitation, c'est une forme de lâcheté dans notre pays et la marque de l'immobilisme.
La cohabitation, c'est la rencontre d'un élu légitime prêt à tout pour garder sa place avec un nouveau corps électoral rappelant la souveraineté du peuple.
En 1969, une autre époque, un Président de la République prémonitoire avait décidé de supprimer le bicamérisme en France par un référendum.
D'un reférendum, on est passé à un plébiscite avec "c'est moi ou le chaos".
Au soir de l'élection, le président en place, au vu du résultat, a démissionné.
Inutile de faire la comparaison avec cette époque et avec un homme d'honneur.
Nous n'en sommes pas là dans notre commune d'autant que cette vertu cardinale ne semble pas être l'apanage de notre premier magistrat aux méthodes brutales de management.


Abandon de créances, base de maintenance des éoliennes , chantier de l'aménagement urbain des quartiers du casino et du Portrieux, croisement des Prés-Mario, fonctionnement de la municipalité, sur tous ces sujets, les élus sont prêts à multiplier les commissions, les conseils municipaux, les réunions avec la population.
Le seul qui n'en veut pas, c'est Monsieur Blanc; il préfère flâner du côté de la "Coupole" à Paris.
Je le répète à tous: les Quinocéennes et Quinocéens perplexes sur la crise qui domine notre municipalité doivent rencontrer tous les élus.
Avec ceux de la majorité, ce sera facile, contactez-les en vous adressant à la mairie.
Pour les cinq élus entourant le maire et le maire lui-même, population de Saint Quay, je ne saurais répondre à leur place.
Enfin, pour faire taire la bêtise des anonymes se répandant sur mon blog, je dis bien haut que tous les électeurs de Saint Quay Portrieux sont égaux en droit et devoir quelque soit leur lieu de naissance.


JOUNENT Michel, adjoint transformé en cariatide*,

*autrement dit,un quidam portant toute la détresse de  la commune à bout de bras.