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jeudi 22 septembre 2011

têtu...22/09/2011

UN ENTÊTEMENT COUPABLE!!!





Il faut que cesse "la bonne fausse " solution pour sauver le commerce de presse du Portrieux.
Il faut que le maire abandonne l'achat des murs de la boutique par la municipalité.
M Blanc ne s'est pas montré à la hauteur de ses ambitions pour éviter le "mitage"du quai de la République.
Il faut qu'il en tire maintenant les conséquences!!!
La délibération obtenue par un vote rabougri signifiait bien le peu d'enthousiasme des élus, élus pas très courageux lors de ce conseil municipal du 29 octobre 2010.
Quand le maire fournit quelques explications sur ce dossier, il mélange tout, il embrouille ses interlocuteurs et il fait reposer sur d'autres les causes de ses propres insuffisances pour dominer les obstacles rencontrés.
J'ai déposé, fin décembre 2010 , deux requêtes auprès du Tribunal administratif de Rennes.
un référé pour, en urgence, surseoir à l'application de la délibération n°10-117.
une requête en annulation de cette même délibération.
Le référé sur l'urgence à surseoir la décision d'achat des murs d'un commerce a été rejeté mais les attendus de la décision du TA de Rennes sont très explicites sur la distorsion à la concurrence que faisait peser, entre les commerçants quinocéens, la faiblesse des loyers demandés.
Il est vraiment anormal que l'association des commerçants de Saint Quay Portrieux soit restée passive devant cette décision municipale relevant de l'arbitraire.
C'était bien à elle de recourir au TA de Rennes pour contester la délibération faussant la concurrence.
Ce secours à un commerçant en difficulté est un fâcheux précédent ... Pourquoi lui aujourd'hui, et pourquoi pas un autre demain ???
Au sein de l'association des commerçants, une personne étrangère au monde du commerce local a freiné toute envie de demander des comptes au maire .
Cette personne est la même qui a organisé le départ théâtrale de six élus du conseil municipal en mars 2009.
Il est urgent que ce pseudo gourou reste à l'écart des affaires de la commune , elles sont trop sérieuses pour quelqu'un qui ne l'est point.
La requête sur le fond de l'affaire finira par venir , elle est encore à l'instruction.
Cette requête n'a jamais était suspensive, aussi les retards dont fait état M Blanc pour acquérir les murs du commerce de presse ne reposent que sur son manque d'activité.
Le notaire ou les notaires qui ont refusé la rédaction de l'acte d'achat des murs ont, à l'évidence, refusé d'être mêlés à cette aventure incertaine.
La signature d'un bail de location au nom de la municipalité, avant que cette dernière ne soit propriétaire des lieux, fait partie des nombreuses singularités dont M Blanc a le secret .
Quand on connaît le dossier comme je le connais, avec les pièces administratives que j'ai accumulé sur cette affaire, quand on sait aujourd'hui que le commerçant veut mettre un terme à son expérience commerciale au Portrieux et qu'il veut vendre son affaire, il est nécessaire et plus qu'urgent de ne pas ajouter un obstacle de taille aux choix du commerçant.
L'acte d'achat établi par le centre de gestion des Côtes d'Armor met la municipalité (l'acquéreur ) à l'écart de toute participation à l'entretien de l'ensemble immobilier où se situent les murs du commerce, cette répartition des charges dans le pavillon est un obstacle considérable pour un éventuel acheteur.


M Blanc, maire de Saint Quay Portrieux, annulez par un arrêté ou par un vote rapide du conseil municipal la délibération n° 10/117.
Levez l'obstacle majeur qui risque d'empêcher une issue satisfaisante pour le commerçant à se sortir des énormes difficultés qu'ils traversent aujourd'hui.
Ne conduisez pas ce commerçant à vous demander des comptes pour les faux espoirs que vous avez suscité chez lui.
Et surtout ne risquez pas le ridicule d'avoir fait acheter les murs d'un commerce par la municipalité pour 100 000 € qui, demain, seront inoccupés et dont les loyers demeureront impayés.

JOUNENT michel

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