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vendredi 30 septembre 2011

à l'enseigne rose 01/10/2011

En attendant l'ouverture des portes ...



L'enseigne lumineuse du cinéma est installée, elle est belle!!!
C'est vrai aussi qu'elle a coûté six milles euros .
Il ne reste plus qu'à informer la population d'ici et d'ailleurs pour la séance inaugurale et surtout ne pas omettre le recrutement de l'ouvreuse pour les esquimaux à l'entr'acte.

On n'en peut plus d'attendre... les nerfs sont à vifs, les cinéphiles s'impatientent, les contribuables aussi ...Vite une date monsieur le maire pour le grand jour ou le grand soir de la mise en service de:
"la réalisation majeure de  la  municipalité"

Selon la  parution"Les amis de Saint Quay",  la date du  jour tant attendu pour
l'inauguration  du cinéma  serait le mercredi 19 octobre 2011.

JOUNENT michel

jeudi 29 septembre 2011

dans le désordre 29/09/2011



En VRAC
et dans le DÉSORDRE!!!






Après la rue Beaudrit (une impasse ) où les travaux sont maintenant terminés.
Après le début de la rénovation de l'allée de la Grève Gicquel (une impasse), travaux suspendus cet été parce qu'ils gênaient le tourisme autour de l'hôtel du Gerbot d'Avoine, ils vont reprendre incessamment sous peu.
Le site officiel de la commune nous informe que l'allée du Viking (une impasse) va connaître une réfection totale, les travaux sont en cours.
Pendant ce temps, la sortie principale, la rue Geniet , obligatoire pour desservir la criée et l'usine "Celtarmor", est toujours dans un état d'abandon.
Chaque jour, des dizaines de camions, de semi-remorques et d'attelages déménageant des bateaux circulent sur cette chaussée.
C'est évident que le coût des travaux est important et refaire la rue poserait, pendant la durée de la réfection, des problèmes importants pour la circulation dans ce quartier du Portrieux.
Bien évidemment des solutions existent, mais pas forcément au niveau financement, le maire préfère investir du côté du casino dans des aménagements discutables.
En attendant, M Ciné Stké, M le maire, ont accès à leur domicile par des rues à l'assainissement remis à neuf et aux réseaux (électrique et téléphonique ) aériens supprimés et, bientôt, un nouveau chanceux, M le conseiller Tanon va connaîre la réfection de l'impasse jouxtant sa propriété.
Comme disait M le maire au cours d'un conseil municipal, " il faut bien commencer par quelque part".
J'ai demandé, il y a quelques temps, au directeur de la communication, de faire précéder la parution des procès verbaux de l'ordre du jour afin de faciliter " les recherches citoyennes"; depuis plusieurs mois, c'est chose faite .
J'ai par courrier demandé au maire de prolonger l'affichage des procès verbaux du syndicat mixte du port d'Armor par leur mise en ligne sur le blog et le site municipal, c'est chose faite depuis peu et cela permet de constater que l'annonce de la construction de la nouvelle coopérative devant commencer dès le début du mois de septembre ne sera pas tenue.
Il semble que du côté du financement de ce bâtiment sur deux niveaux, une grande prudence se fait jour.
Une prudence des investisseurs devant la crise économique qui s'aggrave et devant la difficulté à trouver un acquéreur pour l'ancien magasin.
En juillet 2011 dans la parution "Saint Quay Portrieux Infos"n°61, nous avons découvert que la municipalité s'était dotée d'un nouveau site Internet.
www.mairie-saintquayportrieux.fr
A lire Mme Quéré, maire adjointe à la communication, les deux supports , l'ancien et le nouveau sont complémentaires et ils ont une vocation identique ???
Le blog municipal créé fin 2008 début 2009 a eu bien du mal à voir le jour, il a aussi amorcé par l'embauche d'un directeur de la communication la scission au sein de l'équipe "Autrement" .
Il n'était que le prolongement, par sa forme, du blog du candidat Dominque Blanc, de plus ce blog de marque "typepad" est payant.
Le blog saint-quay-portrieux.typepad.fr n'est pas très interactif, les commentaires contredisant l'action de la municipalité sont le plus souvent censurés et les recherches sont assez difficiles à réaliser sur des anciens articles et procès verbaux.
Trois mois après l'annonce de la sortie du site officiel de la mairie, grand coup de clairon, la presse de nouveau nous annonce ces jours ci, photos à l'appui, que la mairie va développer le lien avec les habitants de la ville grâce à son nouveau site.
On en avait bien besoin et peut être saurons nous bientôt la date de l'inauguration du cinéma?
Il tarde, pour beaucoup de quinocéens, de savoir ce que peut bien faire le directeur de ses journées dans cette salle aux travaux interminables.
Ce nouveau site est le produit d'une entreprise privée , il a coûté un certain prix et contrairement à Mme l'adjointe à la communication, je ne pense pas que deux supports soient nécessaires pour faire connaître l'immense propension du maire à jeter l'argent par les fenêtres.
Regardons autour de nous, les villes, les communes, les communautés de commune, le Conseil général n'ont qu'un site.
Et pour sourire, la photo qui montre les conseillers annonçant la naissance du nouveau site est parlante , elle montre que la division est extrême dans ce conseil municipal.
On note l'absence de six élus, la position en retrait ou sa tenue à l'écart du groupe, du second adjoint, cela en dit ...long sur la vie municipale pour les jours à venir.
Je pourrais, pour clore mon bric à brac, parler du stationnement sauvage des camping-cars, au niveau de la municipalité "on s'en fout", ce problème évoqué dès le début de la mandature n'a pas connu le moindre progrès depuis .
                                 

Ne reste plus qu'à attendre, grâce au site municipal, le contenu de la réunion qui va hiérarchiser les travaux promis par le maire dans cette ambiance de crise économique sérieuse.
Il est temps que l'on connaîsse le financement des travaux relevant de la mégalomanie du maire et le poids des emprunts contractés dans le budget.

JOUNENT michel

mardi 27 septembre 2011

le tonneau sans fond 27/09/2011

MILLE-FEUILLES
ou
MILLE- FROMAGES!!!




Le problème des emprunts toxiques évoqués précédemment illustre bien l’énorme disproportion qui existe entre d’une part, les pouvoirs et la masse de manœuvre dont disposent nos élus et les faibles compétences dont ils font preuve d’autre part et ceci en reconnaissant la bonne volonté et le dévouement de bon nombre d’entre eux.
Il faut effectivement y voir une séquelle d’un de nos plus grands maux français qu’est la création de ce mille-feuilles administratif par les lois de décentralisation des années 80.
En effet là où les allemands comptent 6 000 communes et 16 Länder, nous avons en France 37 000 communes, des communautés de communes et des communautés urbaines, des cantons, des arrondissements, 96 départements et 27 régions. On a heureusement arrêté la création des « pays » à vocation touristique.
Or à chacun de ces stades c’est créée une machine à dépenser les sous, à créer des emplois sinécures pour les copains (entendez ceux qui ont la carte voulue), des ZAC invendables, à voyager pour promouvoir la région etc…
Autant de possibilités de multiplier les casquettes et les indemnités autant de gabegies régulièrement dénoncées sans succès par la Cour des Comptes.

Le copinage, le clientélisme voire le népotisme y sont érigés en principes de recrutement et de gestion du personnel.
N’est-il pas choquant que, alors que l’Etat serre la ceinture sur les emplois, notamment dans le secteur de l’enseignement, notre commune se paye le luxe d’employer depuis plusieurs mois (six) le Directeur d’un cinéma qui n’existera peut-être que dans deux mois ?

Mille-feuilles ou et mille-fromages ?

OCTAVE

samedi 24 septembre 2011

toxique... 25/09/2011

LES EMPRUNTS TOXIQUES!!!




Selon la presse et plus particulièrement par le journal" Libération " du 21 septembre 2011, 5500 collectivités territoriales (ville , région, département, communauté de communes ) et autres établissements publics ( hôpitaux , syndicat d'économie mixte ) ont emprunté entre 1995 et 2008 pour 25 milliards d' €uros d'emprunts toxiques.
Dexia, pour ne pas la nommer, est la banque historique des collectivités locales en France.
Autour des années 2000, elle s'est lancée dans une stratégie financière hautement risquée, elle a proposé des prêts structurés.
Ces prêts offrent dans un premier temps des intérêts très bas, les premières années les emprunteurs ont cru faire des économies mais, en fait, ces prêts se sont révélés être des pièges "mortels" au bout de trois a quatre années par l'application de la phase dite structurée.
Les taux d'emprunt sont devenus alors très élevés par l'application de formules incompréhensibles , basée sur la variation du cours de plusieurs monnaies comme le Franc-Suisse, le Yen chinois ou le Dollar US et par d'autres paramètres.
Malgré la complexité de ce genre de prêt , des élus se sont jetés "tête baissée" dans l'usage de ces emprunts
Sans aller plus loin dans la compréhension des mécanismes de ces emprunts, il faut rappeler que La Caisse d'Epargne, Le Crédit Agricole et La Société Générale ont été très actifs pour vendre ces produits hautement dangereux.
Le résultat aujourd'hui, on le mesure; les banques se sont gavées et les collectivités pour beaucoup sont au bord de la faillite.
Dans notre département les Côtes d'Armor à direction socialiste, le Conseil Général selon la chambre Régionale des Comptes a contracté plus de 34 millions d' €uros d'emprunts toxiques .
Dans ces temps de crise boursière sévère, le rapport de la CRC de Rennes avance pour le département 22 une perte de 4 millions d' €uros.
Le Président du Pays de Saint Brieuc et aussi maire de Lamballe (PS) connaît lui aussi pour sa ville de sérieux déboires.
Dans le département des Côtes d'Armor, de très nombreuses villes sont maintenant à la tête d'emprunts toxiques, comme Plérin (PS), Trégueux (PS), Saint Cast du Guildo (DVD), Plouha (PS), Ploufragan (PCF), Yffignac (PS), Loudéac (SE), Perros Guirec( UMP) etc...*
Ce n'est pas le cas pour Saint Quay Portrieux.
Les élus décideurs de ces emprunts font porter la faute à l'Etat.
C'est un peu facile , c'est même trop facile, depuis 1981 avec les lois de décentralisation de Gaston Deferre, les élus font ce qu'ils veulent , ils ne sont seulement vérifiés par les autorités préfectorales que sur la légalité des décisions prises.
La faute, et cela nous fait penser à ce qui se passe dans notre commune, est que des élus irresponsables, un peu beaucoup mégalos et souvent novices réalisent des travaux par l'emprunt au delà du raisonnable.
Le maire de la précédente mandature G Lambotte avait, à écouter certains, tous les défauts de la terre , mais pas celui de prendre des risques insensés pour le contribuable quinocéen actuel et pour celui des générations futures.
Aujourd'hui, nous avons un maire à la folle créativité , rien ne l'arrête, dans la folie des grandeurs il multiplie les investissements et laisse le conseil municipal dans le flou absolu sur la manière de financer cet ensemble de travaux:
Cinéma au coût exorbitant, quartier du casino transformé en croisette cannoise, plage du châtelet au pied d'une falaise à consolider, jardins du Portrieux aux détours incertains, aggrandissement de  la rotonde pour faire  le CLJ, réparation du Centre des congrès, travaux de voirie, centre technique à moderniser, caserne des pompiers à rénover, thalasso ???
Tout cela, mis bout à bout, représente des sommes considérables pour une ville de 3 200 habitants.
Nous sommes à quelques mois de la discussion!!! par le conseil municipal du budget primitif 2012, ce compte doit être présenté en équilibre.
Equilibre par la hausse des impôts ou par la réduction des services rendus, il faudra bien que les élus sortent la tête du sable et se déterminent sérieusement sur le projet présenté
Il est maintenant insupportable de regarder de près ou de loin l'état comateux du conseil municipal transformé en chambre d'enregistrement.
Les élus de la même équipe initiale, en désaccord permanent avec la majorité du conseil au soir du vote ou non du budget primitif devraient donner leurs démissions.
Pour  une simple raison, les quinocéens sont las du triste spectacle que donne leur municipalité et  son fonctionnement si peu démocratique.

*autres villes dans  le 22: Bégard, Binic, Langueux, Merdrignac, Plédran, Pleubian, Ploubazlanec, Plourivo, Pordic, Rostrenen,  Trégastel.

JOUNENT michel

PS: le cinéma  est terminé depuis deux  mois...
                                                     et toujours zéro spectateur.

jeudi 22 septembre 2011

têtu...22/09/2011

UN ENTÊTEMENT COUPABLE!!!





Il faut que cesse "la bonne fausse " solution pour sauver le commerce de presse du Portrieux.
Il faut que le maire abandonne l'achat des murs de la boutique par la municipalité.
M Blanc ne s'est pas montré à la hauteur de ses ambitions pour éviter le "mitage"du quai de la République.
Il faut qu'il en tire maintenant les conséquences!!!
La délibération obtenue par un vote rabougri signifiait bien le peu d'enthousiasme des élus, élus pas très courageux lors de ce conseil municipal du 29 octobre 2010.
Quand le maire fournit quelques explications sur ce dossier, il mélange tout, il embrouille ses interlocuteurs et il fait reposer sur d'autres les causes de ses propres insuffisances pour dominer les obstacles rencontrés.
J'ai déposé, fin décembre 2010 , deux requêtes auprès du Tribunal administratif de Rennes.
un référé pour, en urgence, surseoir à l'application de la délibération n°10-117.
une requête en annulation de cette même délibération.
Le référé sur l'urgence à surseoir la décision d'achat des murs d'un commerce a été rejeté mais les attendus de la décision du TA de Rennes sont très explicites sur la distorsion à la concurrence que faisait peser, entre les commerçants quinocéens, la faiblesse des loyers demandés.
Il est vraiment anormal que l'association des commerçants de Saint Quay Portrieux soit restée passive devant cette décision municipale relevant de l'arbitraire.
C'était bien à elle de recourir au TA de Rennes pour contester la délibération faussant la concurrence.
Ce secours à un commerçant en difficulté est un fâcheux précédent ... Pourquoi lui aujourd'hui, et pourquoi pas un autre demain ???
Au sein de l'association des commerçants, une personne étrangère au monde du commerce local a freiné toute envie de demander des comptes au maire .
Cette personne est la même qui a organisé le départ théâtrale de six élus du conseil municipal en mars 2009.
Il est urgent que ce pseudo gourou reste à l'écart des affaires de la commune , elles sont trop sérieuses pour quelqu'un qui ne l'est point.
La requête sur le fond de l'affaire finira par venir , elle est encore à l'instruction.
Cette requête n'a jamais était suspensive, aussi les retards dont fait état M Blanc pour acquérir les murs du commerce de presse ne reposent que sur son manque d'activité.
Le notaire ou les notaires qui ont refusé la rédaction de l'acte d'achat des murs ont, à l'évidence, refusé d'être mêlés à cette aventure incertaine.
La signature d'un bail de location au nom de la municipalité, avant que cette dernière ne soit propriétaire des lieux, fait partie des nombreuses singularités dont M Blanc a le secret .
Quand on connaît le dossier comme je le connais, avec les pièces administratives que j'ai accumulé sur cette affaire, quand on sait aujourd'hui que le commerçant veut mettre un terme à son expérience commerciale au Portrieux et qu'il veut vendre son affaire, il est nécessaire et plus qu'urgent de ne pas ajouter un obstacle de taille aux choix du commerçant.
L'acte d'achat établi par le centre de gestion des Côtes d'Armor met la municipalité (l'acquéreur ) à l'écart de toute participation à l'entretien de l'ensemble immobilier où se situent les murs du commerce, cette répartition des charges dans le pavillon est un obstacle considérable pour un éventuel acheteur.


M Blanc, maire de Saint Quay Portrieux, annulez par un arrêté ou par un vote rapide du conseil municipal la délibération n° 10/117.
Levez l'obstacle majeur qui risque d'empêcher une issue satisfaisante pour le commerçant à se sortir des énormes difficultés qu'ils traversent aujourd'hui.
Ne conduisez pas ce commerçant à vous demander des comptes pour les faux espoirs que vous avez suscité chez lui.
Et surtout ne risquez pas le ridicule d'avoir fait acheter les murs d'un commerce par la municipalité pour 100 000 € qui, demain, seront inoccupés et dont les loyers demeureront impayés.

JOUNENT michel

lundi 19 septembre 2011

embrouilles et coups bas 19/09/2011

CALME, SEREIN, AGITÉ
 ou SUSPENDU...


par l'absence du quorum , les conseils municipaux se suivent et se ressemblent.
Tout est écrit d'avance, la réunion publique du conseil municipal se termine toujours par un quitus donné au maire .

C'est bien la peine pour certains élus de répandre leurs états d'âmes pour ensuite paraître absents et oublier qu'ils avaient promis de mettre un frein au pouvoir exorbitant de notre maire.
Les coulisses de l'hôtel de ville bruissent de conciliabules , des alliances se nouent et se dénouent pour réduire le rôle du premier magistrat mais en fin de compte, c'est toujours M Blanc qui tire les marrons du feu de ces bisbilles et de ces combats d'ego.
Non seulement il est fort notre maire , mais il a toujours une longueur d'avance pour réduire les velléités au sein de la majorité des conseillers qui l'appuie encore.
Hier , six élus on vite compris la nature dominatrice du maire et sa manière solitaire de gérer les affaires de la ville, ils sont partis sans doute trop vite.
Aujourd'hui, des conseillers au nombre variable, dans une parfaite incohérence, s'opposent au maire sans résultat.
Le maire s'amuse de ces pseudos contradicteurs et il en sera ainsi tant qu'ils ne démissionneront pas.
Trois années à guerroyer, il n'est pas difficile de compter les points, le maire l'emporte largement et il a en plus pour lui l'opinion de beaucoup de quinocéens qui ne comprennent pas que des hommes et femmes issus de la même liste puissent encore s'écharper de la sorte.                                                    cliquez  sur  la première  page du programme                                                                    
Le maire a fait du cinéma la vitrine de son mandat, c'était soi-disant inscrit en grosses lettres dans le programme "Autrement"!!!
Une fois les subventions retirées au coût de la restructuration de la salle, de l'aménagement des abords et de la récupération de la TVA avec une décote au bout de deux années , on ne devrait pas être loin d'une somme de 1 500 000 € pour les finances locales .
Comment est financée cette somme??? Pas un élu n'est capable aujourd'hui d'apporter une réponse ou une précision.
La transformation du quartier du casino est projetée, le maire avance la somme de 1 700 000 € HT, comment seront financés ces travaux qui sont loin de recevoir l'aval de la population... Secret!!!     
La transformation des jardins du Portrieux, de ce côté là il n'y a pas d'urgence, le quartier du Portrieux n'intéresse par notre maire , ce quartier, à part le fleurissement du bas de la rue Clemenceau, est abandonné.
L'image la plus forte de cet abandon est l'état de la sortie de ville, la rue Geniet, cette voie est dans un état lamentable et pas un élu n'émet la moindre suggestion , la moindre remarque pour changer et refaire cette chaussée essentielle pour quitter la commune.
A part les questions posées par l'adjoint Abbest sur l'absence de passage de la commission de sécurité au Centre des congrès et sur la possibilité de voir la municipalité se retrouver propriétaire des murs d'un commerce sans activité, à part les questions posées par le conseiller Lorant sur la salle "Arletty" et sur la transformation d'un logement de fonction (Centre des congrès ) en salle pour les associations, changement qui n'est pas forcement légal et ouvre un contentieux avec le syndic de l'immeuble mitoyen , aucune réaction chez les autres conseillers , cela dépasse l'entendement.
Ces questions auraient mérité des réponses un peu plus sérieuses et moins méprisantes, on reste totalement interdit devant la passivité du conseil municipal.
On reste pantois devant l'absence de curiosité des élus et devant leurs sentiments à se tenir à l'écart des décisions prises par le maire seul.
Au moindre problème, ils seront coresponsables des décisions prises par M Blanc ...seul dans son bureau ou parmi la multitude de bureaux d'études recrutés par ses soins .
A l'annonce des travaux sur la plage du Châtelet et des sommes estimées pour les réaliser, un auditeur a posé une bonne question à l'issu du conseil municipal.
Ne serait-il pas urgent, devant la situation économique de notre pays, dans un moment ou la distribution des subventions se fait de plus en plus rare, dans un temps ou le département se retrouve avoir contracté des emprunts "toxiques", de faire le point sur l'endettement de la ville , de ses possibilités d'autofinancement et surtout fixer la hiérarchisation des projets en cours?
Autrement dit , M Blanc, il y a plus urgent que la destruction du minigolf, regardez plutôt vers la modernisation de l'usine d'épuration des eaux usées et les réseaux d'assainissements.

J'ai bien aimé le vote du voeu par le conseil, soutenant le Plan Européen d'Aide aux plus Démunis, je reconnais bien là la volonté du grand humaniste modéré qu'est Dominique Blanc notre maire, dommage que ce beau sentiment ne l'a pas traversé quand il a porté l'âge du repas offert par le CCAS aux aînés, de 70 à 75 ans.


JOUNENT michel

En cliquant sur  la  première page du  programme  "Autrement" vous  pourrez vous remettre en  mémoire tous ceux qui  ont voté à l'unanimité les"pleins  pouvoirs au maire" en  mars  2008


vendredi 16 septembre 2011

assemblée communale du 15/09/2011

IL EST VRAIMENT TROP FORT NOTRE MAIRE!!!







Fort de s'être fait élire sur un programme démagogique.
Fort d'avoir réuni une équipe à l'obéissance servile.
Fort d'avoir obtenu, dans l'ivresse de la victoire aux municipales, 16 délégations de signature.
Fort d'avoir confisqué par le vote de ces délégations de signature tout le pouvoir municipal.
Fort à chaque conseil municipal d'avoir la propension à ridiculiser les quelques élus qui posent encore des questions sur les dépenses et leurs financements.
Le conseil municipal du 15 septembre n'a pas failli à la règle: le maire a toujours raison.
Ceux qui croyaient " aux rumeurs" et à l'éventuelle remise en cause de l'autoritarisme du maire en sont pour leur argent, il y a bien eu le spectacle de quelques escarmouches entre des conseillers mais à chaque fois, on assiste à des scrutins dont le sens est difficile à saisir.
Il y a toujours l'attitude contradictoire de l'adjoint Brezellec; un coup, il dénonce les choix du maire et un coup il vient à son secours...difficile de le suivre et de le comprendre.
Le projet de transformation du quartier du Casino est chiffré à 1 700 000 € HT mais chacun sait qu'il faut se méfier des estimations de M le maire; ainsi, le cinéma est passé de 750 000 € à 1 000 000 € pour finir pour l'instant à 1 300 000 € HT et on en est encore à quelques semaines de son inauguration à demander au conseil municipal qu'il vote la demande de subvention pour la projection numérisée.
J'ai cru comprendre que la visite de la commission de sécurité se ferait autour du 10 octobre 2011, l'ouverture de la salle semble maintenant possible pour la Toussaint .
On est loin de l'information parue sur le "Guide tourisme 2011" éditée par l'office de tourisme qui donnait ceci: page 38:
Cinéma- Cinéma Arletty , 3 place de la poste : réouverture en juillet 2011.
Et sur le blog de Ciné St ké, association créée pour répondre à la volonté de la commune de faire participer les quinocéens aux activités du cinéma; le président Le Tallec , l'homme aux multiples casquettes, écrivait le 28 décembre 2010.
 "Arletty rénové ouvrira le premier juillet 2011"
Le maire a participé à toutes les assemblées générales de Ciné StKé , il a privilégié cette association en lui faisant part d'informations de premiéres mains et il a fait visiter la salle terminée aux membres de Ciné St Ké avant les élus.
Sur ce cinéma, la confusion règne toujours au sujet du futur délégataire de service public et il est toujours surprenant d'entendre certains élus sur le fonctionnement du cinéma," il  coûte moins cher que si il était en activité", cela en dit long sur la suite qui sera donnée à cette gestion en régie par la municipalité.
Le nouveau projet herculéen de notre maire est le "haut de la plage du châtelet ", tout est pourri de ce coté de la plage: la falaise, le béton , le sentier
A la louche, on parle d'une enveloppe selon le projet retenu oscillant entre 550 000 et 1 100 000 € HT
Dans une sagesse nouvelle, l'étude et le choix retenu est reporté à un prochain conseil municipal ...OUF.
Le maire est dans une situation bizarroïde en ce qui concerne l'achat des murs de la maison de la presse.
Il y maintenant près de onze mois que cette opération est lancée et le commerçant voit sa situation continuer à s' aggraver, selon les dires de M Blanc.
J'ai par le dépôt d'un référé et d'une requête en annulation de la délibération voulu faire la démonstration.
que ce n'était pas le rôle de la municipalité de se mêler de la gestion d'un commerce.
que cette délibération est une distorsion à la concurrence entre les commerçants.
si demain , ce commerçant devenu locataire de la municipalité venait à cesser son activité , qu' adviendrait t il des murs de commerce, il est bien évident que la mairie n'a pas vocation à tenir un commerce
Le maire a rencontré beaucoup de difficultés pour faire avancer ce dossier: refus d'un notaire à établir l'acte d'achat, temps extrêmement long pour obtenir la situation hypothécaire de ce commerçant , délivrance de la levée des hypothèques retardée, attitude la banque et attitude du trésorier payeur qui refuse pour l'instant de verser les fonds ( 100 000 € ) .
Demain la situation va peut être se débloquer pour ce commerçant, sa banque ( le Requin ) va t'elle lui maintenir la tête hors de l'eau , rien n'est moins sûr.
Il reste cependant le procès sur le fond au tribunal administratif de Rennes et son épée de Damoclès sur la tête du maire et sur celle du commerçant.
Imaginons que ma requête soit acceptée et que l'on demande le remboursement de la somme versée.
La mairie par ce choix hasardeux mettrait le commerçant dans une situation encore plus inextricable, elle se retrouverait possesseur des murs d'un commerce difficilement négociable et l'immeuble comprenant cette propriété municipale dévaluée de fait.
Depuis quatre mois , le centre des congrès est ouvert.
Les artisans des "océaniques 2011" 
Le maire avance la fin du mois de septembre pour la visite de la commission de sécurité.
Les bâtiments n'ont pas été reconstruit à l'identique ; la loge des concierges devient une salle de réunion pour les associations, encore faut il lever le verrou de l'opposition du syndic de " la résidence des iles" à voir des dizaines de personnes pénétrer dans un espace privé.
Ce qui était accepté pour le couple de gardiens ne l'est plus pour le rassemblement de nombreuses personnes.
Le maire se moque de l'avis des riverains sur cette prochaine salle des associations comme il s'est moqué de la sécurité des personnes habitant au dessus des salles du Centre.
Des élus et pas des moindres connaissent toutes ces affaires en cours, ils restent une fois leur salive ravaler par le fait qu'ils ne sont pas associés aux prises de décision , sur le bord du chemin à fulminer, à ronchonner et à dire qu 'il y a en marre.
Ce n'est pas bon pour la santé de garder en soi toutes ces rancoeurs.

JOUNENT michel


mercredi 14 septembre 2011

conseil du 15/09/2011

LE CONSEIL MUNICIPAL DU
15 SEPTEMBRE 2011!!!





Un de plus ou l'occasion donnée aux élus de faire savoir au maire que la direction des affaires municipales est collective.
Des élus et pas des moindres ont fini par trouver insupportable la manière dont est gérée la commune.
Des élus qui, jusqu'à maintenant faisaient chorus avec M Blanc, sont las de découvrir que des décisions municipales sont prises sans leur assentiment.
Des élus, à l'image de l'opinion quinocéenne, s'inquiètent des projets étonnants et dispendieux mis en réalisation par le maire.
Des élus n'ont pas de réponse à produire aux quinocéens sur le spectacle d'un cinéma tout neuf fermé à la clientèle.
Ces mêmes élus ne savent pas quoi dire du devenir de la boutique de la presse sis quai de la République, le maire a fait voter l'achat des murs en octobre 2010 et la concrétisation de ce vote n'est toujours pas réalisée.
Ces élus ont fini pas admettre avec la population de Saint Quay Portrieux qu'il y a d'autres investissements à réaliser que le saccage des jardins du port et la destruction du minigolf par exemple: l'urgence du chantier de l'assainissement et de l'amélioration des performances de l'usine d'épuration des eaux usées.
M Blanc fait le vide autour de lui, il est grand temps que les élus lui fassent entendre le sens de leur engagement à servir l'intérêt général , la fierté et l'honneur d'avoir reçu par un vote majoritaire la confiance des électeurs.

Etre maire, c'est avant tout des devoirs et non pas un droit à oublier le respect que l'on doit à ses colistiers.

JOUNENT michel

lundi 12 septembre 2011

précipitation 13/09/2011

DES DÉCISIONS PRISES DANS LA PRÉCIPITATION!!!





C'est bien la peine de parader avec l'écolo-mondain et oublier qu'il y a des règles très strictes à respecter pour les établissements recevant du public.
Le principe de précaution est inscrit dans la constitution depuis 2005.
Ce principe correspond typiquement à des événements que l'on ne peut pas probaliliser.
Comme ce fut le cas pour le Centre des congrès, établissement pourtant récemment remis aux normes de sécurité.
Il m'a fallu, une nouvelle fois, produire beaucoup de travail et faire des recherches pour connaître la situation du Centre, 16 semaines après le début de la tenue des "Océaniques" 2011.
La lecture de l'arrêté municipal du maire n°11/ PSH 96 portant sur l'autorisation provisoire d'ouverture du Centre des congrès et des loisirs est édifiante et suscite bien des interrogations.
Déjà savoir que cet arrêté est rédigé sur la proposition du Directeur général des services me conduit à penser qu'il fera un excellent fusible si les affaires se corsent.
Les "c'est pas moi , c'est l'autre" sont maintenant monnaie courante chez notre maire et puis, il lui reste toujours la technique du leurre quand les choses tournent mal.
Le DGS actuel n'est que le cinquième depuis le début de cette mandature , ce n'est pas inutile de le rappeler.
Ensuite, en parcourant cet arrêté, lire que les travaux de reconstruction à l'identique du Centre des congrès après sinistre ont été réalisés est totalement inexact.
la loge du concierge est transformée en local pour les associations.
les travaux pour terminer ce changement d'affectation ne sont pas terminés, pas plus qu'un certain nombre d'appareillage et de sécurité des salles du Centre.

appartement des concierges en voie de  transformation
photo prise en avril 2011
Sur cet arrêté, M Blanc se prévaut de l'avis technique du bureau de contrôle DEKRA , renseignements pris à l'agence costarmoricaine de cette entreprise d'audit, l'expertise n'est pas terminée.
Les conclusions sur les systèmes de sécurité, l'installation électrique, la ventilation et les différents dispositifs de lutte contre le feu, etc... sont indispensables pour la convocation de la commission de sécurité de l'arrondissement de Saint Brieuc.
La commission de sécurité s'appuie sur les expertises préalables pour donner son avis sur l'ouverture du Centre et elle est le seul organisme officiel d'agrément.
L'incendie de mai 2010 a traumatisé les habitants de "la Résidence Bretagne", il y a 24 logements sur deux étages au dessus des salles du Centre des congrès.
Le Centre des congrès et les 24 logements forment une copropriété.
Il y a un syndic des copropriétaires pour les logements, il ignore tout sur l'ouverture provisoire du Centre des congrès , il n'y a aucun échange d'information avec la mairie.
Les habitants de la résidence Bretagne constatent l'activité du centre, (rassemblement de jeunes, expositions, projection de film, célébrations de mariage) et tout cela dans des salles qui n'ont pas encore reçu un avis favorable pour leur utilisation.
Trop de mesures exceptionnelles sont prises par M Blanc, tout seul de son bureau, il prend de sérieux risques.
La sécurité des personnes ne doit pas et ne peut pas s'installer dans le provisoire.
Les arrêtés municipaux:
du 26 mai 2011, n°11 /PHS 96. Centre des congrès.
du 8 septembre 2011, n°11 /PHS 180 . salle du FJT.
du 8 septembre 2011, n°11 /PHS 181. salle des "mimosas".
sont inconnus des élus.... cela en dit long sur la dégradation continue sur l'ambiance de l'équipe "Autrement ", les rapports entre le maire et ses colistiers sont délétères , vraiment, il n'a pas son pareil pour faire le vide autour de lui, M Blanc!!!
Pour nous rassurer , dans un communiqué presse paru dans "Ouest-France" du 10/09/2011, M Blanc, pour toutes ces ouvertures provisoires, nous dit qu"'il engage sa responsabilité personnelle".
Ah, la belle âme!!! mais devant l'énormité de la prise de risque, mieux vaudrait associer l'ensemble des conseillers municipaux à la vie de la cité , à l'écoute de la population , à la prise des décisions et sortir de l'exercice solitaire du pouvoir municipal.
Au conseil municipal du 15 septembre, conseillers municipaux, parlez nous de l'intérêt général et rappelez à M Blanc que ce n'est pas du meilleur goût
"d'avoir le goût de soi".

JOUNENT michel

samedi 10 septembre 2011

l'irresponsabilité du maire 11/09/2011

IRRESPONSABILITÉ
 ou
INCONSCIENCE???



M Blanc s'autorise beaucoup de libertés sur  un sujet crucial: la sécurité de ses concitoyens.
La sécurité des établissements recevant du public est régit  par l'application de l'article R123-2 du code de  la construction et de  l'habitation .
Par la non application de ces  règles, M le maire prend des risques personnels très  importants.
A Saint Quay Portrieux , on a vite fait le tour des établissements recevant du  public (ERP) régulièrement  ou  occasionnellement, sous  l'autorité  municipale.
·       le Centre des congrès.
·       le cinéma "Arletty " si,  un jour, il ouvre ses portes!
·       l'office  du tourisme.
·       l'ancienne  mairie.
·       la salle  omnisports de l'Espérance.
·       l'ancien cinéma "le celtic".
·       et dans  une  situation hybride, la salle de  la résidence "des  mimosas " et la salle du FJT.
Ces établissements sont classés selon  leur utilisation, selon leur hauteur et en catégorie selon  le nombre de  personnes  accueillies .
L'autorisation d'ouverture d'un ERP  n'est délivrée qu'après la visite et  l'avis favorable de la commission  de sécurité compétente.
La commission  effectue une  visite  à  l'ouverture de  l'établissement puis elle  passe  régulièrement , éventuellement d'une  manière  inopinée et aussi après des travaux  importants.
Le Centre des congrès a subi un  incendie ravageur en  mai 2010, du  pavillon des concierges, il  ne restait plus que des pans de  murs , les deux salles du centre ont été  inondées par  les systèmes automatiques anti-incendie, l'installation électrique était détruite, le dispositif de ventilation anéanti , les  murs et  plafonds noircis par les fumées, bref,  une destruction très importante du site et  des systèmes de sécurité .

une des salles du Centre des congrès  en réparation.
photo prise le 7/04/2011 à9h45
Au cours d'un conseil municipal , l'élu A Lorant est revenu  sur  la non prise en compte des avertissements écrits du gardien qui  mettait en exergue le  non fonctionnement des différents dispositifs de sécurité avant  l'incendie.
Il avait adressé cinq courriers à sa  hiérarchie, j'ai pu les consulter.
Le même A Lorant avait averti le maire, toujours en conseil  municipal , sur  les conséquences du  non bâchage des ruines du pavillon des gardiens , son avertissement est resté lettre  morte  plusieurs  mois, les  pluies d'automne ont  poursuivi  le travail de destruction provoqué par  l'incendie.
Après  bien des  tergiversations  avec  les assurances et au bout d'une année de gesticulations,  le Centre des congrès a ouvert à nouveau ses  portes,  il  n' y avait  plus de temps à perdre pour  inaugurer à temps les "Océaniques", exposition  maintenant bien assise dans  la vie de  la station balnéaire.
Et  puis , il  y avait  le champion de  l'écologie, l'ami du maire "Arthus- Bertrand ", on ne refuse rien  au  roi de  l'hélico qui  prône à tous  les gogos  l'usage du vélo.
Bref , on  ne  pouvait pas  une seconde fois  reporter  la tenue des "Océaniques " et au diable la visite de  la commission de sécurité!
Cet été , pour faire  plaisir  à son supporter n°1 du  nouveau cinéma "Arletty" M Le Tallec , le maire a autorisé   la  projection d'un film devant  271  personnes dans  une salle  n'ayant pas reçu  l'aval de  la commission de sécurité.
Depuis , il y a eu différentes expositions qui ont  drainé  des centaines de spectateurs.
J'ai adressé  un courrier au  maire, pas  une  lettre ouverte mais un courrier où je pose  la question du passage  et des conclusions de  la commission de sécurité de  l'arrondissement de Saint Brieuc.
La réponse a fini par arriver le 10 septembre  2011.
"le passage  de la commission de  sécurité est prévu dans  un court délai" et  en attendant, le  maire me fait savoir qu'il a  pris un arrêté  provisoire permettant  l'accès au centre conformément  à la réglementation ???
La réglementation permet sans doute des exceptions; lors de  la  précédente mandature,  le maire  a de nouveau  ouvert  le cinéma  par un arrêté   pour une seule  projection, celle  d'un film sur Saint Quay Portrieux, il a fait venir  les  pompiers  et la police  municipale pour sécuriser le  lieu et une fois  la séance terminée, il était  tout  heureux qu'aucun désordre  ne se soit produit.
Sur l'arrêté provisoire,  j'attends d'en connaître la référence.
Un arrêté qui dure  depuis  plus de  trois mois  n'a  plus rien de  provisoire...
Contrairement  à l'affirmation  du maire,  le  passage de  la commission de sécurité   n'est pas  près de  se faire;  pour cela,  il faudrait que  les travaux sur le   logement des concierges soient terminés  pour en faire  une salle des associations.
A ce sujet , le syndic de  "la résidence  des  îles"  qui,  jusqu'à aujourd'hui,  ne s'opposait pas au passage des concierges sur son domaine, ne veut pas entendre parler de l'installation d'une salle  pour  les associations.
Le syndic regroupant  les  résidents  redoute des  troubles de jouissance   et  un sérieux contentieux se  prépare.
Dans le  journal "Ouest-France du samedi  10 septembre  2011, le maire,  par  un communiqué de  presse, fait savoir qu'il passe  par dessus les  nouvelles exigences de sécurité concernant les établissements recevant du  public.
Son communiqué est un peu la réponse à  l'article de "La  presse d'Armor" où il est écrit que plusieurs associations , faute de salle , sont dans  la  panade.
Les travaux réalisés dans  l'ancienne  mairie  n'ont pas été  poursuivis (l'installation d'un ascenseur, la réfection du 2éme étage  et des  combles); ils auraient grandement  réglé  le  problème du  manque de place pour  les associations.  
Beaucoup de quinocéens  se  posent des questions  sur  la gestion municipale et sur le comportement  de  notre  maire sur  la sécurité des établissements recevant  du  public,  ils  pensent  qu'il prend d'énormes risques en engageant  sa  responsabilité  personnelle.
S'il suffit  de  prendre  un arrêté  pour  accéder  à  un établissement recevant du  public, qu'attendez vous, M Blanc,  pour en signer  un, permettant l'ouverture du  cinéma?
Mais de ce côté, il faut croire que  le directeur en place du cinéma  lui a soufflé  la  prudence  et dicté le  propos que  l'on peut lire sur  le site  municipal.
"L'ouverture  de  la salle  interviendra vraisemblablement..........quand  la commission de sécurité" donnera son accord.
Au  prochain conseil  municipal, l'ordre du jour permettra de  poser  des questions sur  la sécurité des  établissements accueillant du public.
Mesdames et  Messieurs les conseillers,  ne  laissez pas  le  maire engager sa responsabilité  personnelle!!!
La sécurité des  personnes  est  une  chose  trop importante  pour que  les élus s'imaginent  que  le  maire serait  le seul à trinquer en cas  de  non respect de la réglementation  ou, au pire, en cas de sinistre .

JOUNENT michel

jeudi 8 septembre 2011

c'est cuit... 09/09/2011



FAUT PAS RÊVER M LE TALLEC...



C'est cuit pour  l'année prochaine,  il  n'y aura pas de spectacle "son et lumières" sous votre direction.
La direction  municipale et  les  élus sont atterrés  par cette soirée en bord de  mer.
Si le  maire  ne s'est pas exprimé publiquement, il a  par la  publication d'un commentaire sur  le blog  municipal laissé  passer une sentence sans appel, sur  la forme et  le fond de ce divertissement... raté.
La bonne volonté, l'enthousiasme de  25 acteurs, la troupe de danseurs, le  professionnalisme  d'un acteur de  83 ans (silhouette dans de  nombreux films), de deux musiciennes , d'une cantatrice et d'une femme metteur en scène, forment  peut être  un bon casting mais  pas  forcément  un bon et beau  spectacle.
C'est  le cas pour cette deuxième tentative  d'animation autour du  15  août .
Ce  n'est  pas  la  première et la dernière fois que  le travail  et  le dévouement  ne seront pas  récompensés.
On  peut s'autoproclamer cinéphile, on  peut  créer une association pour aider  le  maire  à faire la  promotion du  cinéma "Arletty", on  peut espérer  ensuite le  prolongement   de  la  programmation  par un cinéma d'"Art et essai" se dénommant  "Ciné St ké"et rencontrer  l'ingratitude.
La  principale  actrice  pour  promouvoir  un  spectacle "son et  lumières" à Saint Quay , la  maire adjointe Mme Quéré  à la tête de  la commission extra municipale  en  2009, s'était grandement investie dans cette affaire à dimension culturelle.

 les organisateurs de  la  première tentative en 2010, d'un spectacle son et  lumières.
M martial Crowin, M yann Quéré, Mme isabelle Quéré et M michel Le Tallec
 Le 12 février 2010, sur  une vidéo encore  visible sur  le blog  municipal, elle faisait "l'article"  de ce  projet , entourée de M Le Tallec et de M Quéré (metteur en scène émérite ) et  puis  plus rien Mme Quéré a disparu de  la construction  de ce spectacle !!!
On apprend en lisant les tribunes libres de "La  presse d'Armor" sous la signature de M Le Tallec que ses  ex amis de  la  commission extra municipale ont fait avorter  et saborder la  première mouture du son et lumières "La  mer  m'enchante "
Hostilité au contenu du spectacle ou hostilité à M Le Tallec, poser  la question c'est trouver  la réponse!!!
La  municipalité a subventionné le second projet du son et lumières, elle a versé 5 000 € à l'association "Animations et  images d'Armor " et de  plus, elle a mis à la disposition du concepteur et réalisateur le  polyvalent M Le Tallec président d' "Animations et images d'Armor" , du matériel, des  tentes, des  planchers de  l'alimentation électrique, etc...
On aurait aimé  entendre l'avis de Mme Quéré, responsable du secteur culturel de  la municipalité, sur ce spectacle,  on aurait aimé qu'elle  justifie  cette subvention en euros et en heures de travail du personnel communal et qu'elle se prononce sur  le qualitatif de cette affaire.
Elle aime bien  le mot qualitatif, en attendant, elle est aux abonnés absents.
La déception est énorme  chez  les spectateurs de cette  malheureuse soirée, l'article  paru dans  "La  presse d'Armor " sonne faux, la spectatrice   trouvée à la note élogieuse de 7/10 et aux  propos  flatteurs "mais peut mieux faire" relève du bidonnage  journalistique.
Pour faire  un spectacle  de qualité , alliant des  moyens  modernes  de  projections d'images,  de faire entendre des textes et de la  musique  de qualité ,  d'utiliser la  présence de  la  mer et des bateaux, nécessitent, avec  le feu d'artifice, des  moyens très importants et la  présence  des  professionnels de  l'art.
Pourquoi confier cela à M Le Tallec, n'y a t'il pas assez d'argent gaspillé dans notre commune???

JOUNENT michel