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vendredi 29 juillet 2011

mini mini golf... 29/07/2011

LE COMPTE À REBOURS EST LANCÉ....




Les jours du minigolf sont comptés.


En procédant à la publication sur le journal "Ouest-France" du mercredi 27 juillet 2011 de l'annonce portant sur l'appel d'offre (procédure adaptée) pour" l'aménagement urbain du quartier de Saint Quay", M Blanc avance, imperturbable, dans la transformation radicale de ce quartier de la ville.
A peine le cinéma terminé au coût astronomique, le maire se lance dans une opération qui ne rallie pas ou peu la population.
Entre parenthèse, pour la rénovation du GR 34, pour les travaux dans sa rue et dans celle de M CinéStké , pour le cinéma et ses abords, on ne connaît pas à ce jour le montant des sommes engagées et surtout pas la nature de ces financements.
La plupart des élus ignore la quantité des sommes dépensées et ils sont dans l'ignorance totale de la manière dont la ville est gérée.
Il m'arrive de savoir, par des indiscrétions sérieuses, que l'état des finances et l'autofinancement laissés par l'équipe précédente étaient des plus convenables (relire l'audit commandé par M Blanc) et permettent au maire de grandioses réalisations.
L'opération autour du casino est une réalisation très importante; M Blanc prévoit la date prévisionnelle de commencement des travaux au 21 novembre 2011, c'est pour bientôt!!!
Les quinocéens ne sont pas des conservateurs, ils aiment le changement mais pas à n'importe quel prix et surtout ils aiment une certaine continuité dans ce qui fait l'attrait de notre cité.
On ne peut pas accepter, même si M blanc a été élu pour six ans, découvrir qu'il n'en fait qu'à sa tête, qu'il manipule d'une manière grossière son conseil municipal, qu'il profite de la faiblesse de caractère d'un bon nombre de ses collègues et qu'il tient avec délectation ses colistiers dans l'ignorance de ses décisions et de ses choix pour la ville.
Une pétition a rassemblé entre sept et huit cents signatures de personnes qui ne veulent pas la suppression ni le déplacement du mini golf vers le parc de la Duchesse Anne.
M Blanc, devant ce front du refus , propose aujourd'hui de reconstruire... demain ... peut-être un autre mini mini golf au-dessus de la piscine d'eau de mer.
Avant de constater les dégâts que représenterait la disparition de cet endroit ludique et charmant, il est grand temps que les initiateurs de la pétition prennent le taureau par les cornes pour faire entendre les quinocéens pétitionnaires.
Une manifestation dans les rues de Saint Quay Portrieux ou tout autre sorte de protestation pour avoir un impact maximum doit se tenir pendant la période estivale.

Cela ne s'improvise pas et j'attends avec curiosité les détails de la manif... qui se prépare, nous dit on, à l'initiative du LEQ.

JOUNENT michel



mercredi 27 juillet 2011

presse ,loto et jeux...27/07/2011

AIDE AU SERVICE DE PROXIMITÉ !!!






Le 29 octobre 2010, le conseil municipal dirigé avec poigne par le maire, M Blanc, a décidé de voler au secours d'un commerce de presse, livres et jeux.
L'argument était que les quinocéens du Portrieux seraient lourdement pénalisés si ce commerce devait disparaître.
Il a été dit au soir de ce conseil que le commerçant était pris à la gorge par sa banque.
Après consultation des Domaines, le maire a proposé 100 000 € au propriétaire du commerce contre l'achat des murs de la boutique.
A partir de la réception de cette somme, le commerçant devient locataire de la commune.
Le bail à usage commercial a été signé le 21 mars 2011 entre le bailleur (signature du maire M Blanc) et les preneurs (les commerçants).
L'acte d'achat des murs du commerce a été réalisé le 6 avril 2011.
On y trouve les signatures du couple de commerçants (les vendeurs) et la signature de l'adjoint au maire, M Bernard Oliver (l'acquéreur).
Plusieurs curiosités en lisant ces actes:
La commune a signé un bail commercial avant d'être propriétaire de la boutique.
La commune s'est exonérée de construire une copropriété en réalisant cet achat, elle a acheté seulement un volume et laisse au propriétaire du bien immobilier l'essentiel des servitudes.
Le commerçant en difficulté depuis plus de neuf mois, pour recevoir les 100 000 € de la vente des murs de la boutique, doit obtenir une révision très importante des hypothèques à laquelle est soumise la totalité de la somme empruntée pour acheter les parties habitation et commerciale du bien immobilier.
Ce n'est pas simple et c'est inutile de se laisser aller à des exégèses sur l'utilisation que pourrait faire de cette somme, la banque prêteuse de ces fonds.
Mais ce qui est sûr, c'est que le service des hypothèques de St-Brieuc connaît, dans le traitement des dossiers visant à la main levée partielle ou totale des hypothèques, un retard considérable.
Les dossiers déposés en 2010 ne sont actuellement pas traités dans leur totalité.
La décision d'aider ce commerçant a été obtenue par sept voix contre cinq avec trois abstentions, M Brézellec et Mlle Thoraval (représentée), n'ont pas pris part au vote.
Les élus ne croyaient pas à ce sauvetage, plus de neuf mois après cette décision, rien n'est réglé pour ce commerçant malheureux en affaire et la décision prise par le maire, décriée par les commerçants, ressemble à une vision à courte vue de M Blanc pour lutter contre le déclin du commerce de proximité.
On se souvient de l'interview de M Blanc dans "La Presse d'Armor" où il donnait des explications de sa lutte contre le requin (la banque) et le vautour (?). Suivez  mon regard ???
En cette fin de juillet 2011, le commerçant n'est toujours  pas  à  la tête des  100 000 € et le requin continue à faire des ronds dans l'eau du  port d'échouage.

JOUNENT michel

lundi 25 juillet 2011

marteau-piqueur...25/07/2011



VIVE LES CHANTIERS D'ÉTÉ !!!






A proximité de la poste, point névralgique de la vie quinocéenne , la fermeture depuis plusieurs semaines du parking de la place Jean Baptiste Barat échauffe les esprits.
Jamais les quinocéens n'ont été mis au courant de la transformation radicale de la place et jamais ils n'ont reçu d' informations sur le montant et le financement de ces travaux.
Il faut dire que les conseillers municipaux n'ont pas produit beaucoup d'efforts pour satisfaire la curiosité des contribuables de Saint Quay Portrieux.
Le maire décide et les élus obtempèrent.... et vu l'importance des travaux.
Question: où sont les appels d'offres faits aux entreprises pour la réalisation du chantier?
Les municipalités précédentes, animées par un certain bon sens, n'entamaient pas de travaux de voiries pendant la saison estivale.
Avec M Blanc, terminé cet usage d'accueillir les touristes dans le calme, notre maire aime faire savoir que la municipalité travaille et cela, surtout en direction de son électorat: les résidents secondaires inscrits nouvellement sur la liste électorale de la ville.
Avec l'aplomb que tout le monde lui reconnaît par deux arrêtés, le maire a lancé le 24 juin 2011 les travaux de réfection de la rue Beaudrit et de l'allée de la Grève Gicquel, sa rue d'habitation.
La direction de l'hôtel "le Gerbot d'avoine" n'en est pas encore revenue et les riverains du bd du Littoral non plus.
Les travaux sur la place J.B Barat sont extrêmement importants , ils paralysent le quartier par le stationnement anarchique des véhicules... faute de place.
Le salon de coiffure, la pharmacie, la poste et son centre de tri, l'ensemble des courts de tennis et le Centre médico-psychologique connaissent de sérieux problèmes d'accès, curieuse manière pour aider le commerce et les services de proximité.
Les embouteillages du bd Foch et de la rue Pasteur exaspèrent les riverains.

Cette étrangeté à faire des travaux pendant les mois d'été n'a pas cependant conduit notre maire à terminer la rue Geniet, la sortie de la ville par le Portrieux.... elle est dans un état déplorable... comme abandonnée !!!
On peut toujours se consoler devant tous ces désordres par l'aménagement plaisant du bas de la rue Clemenceau avec ses barrières (obstacles au stationnement sauvage ), avec ses poternes et son fleurissement abondant.
Cela ressemble aux dispositions prises il y a plusieurs semestres pour la rue marquant l'entrée de la ville, Paul de Foucaud.
Pelleteuses, camions, bétonnières, marteaux piqueurs, dépôts de matériaux et bruit, une belle et originale façon de développer l'animation municipale en attendant le jour prochain .... marquant la mise en service du Cinéma.

JOUNENT michel

samedi 23 juillet 2011

cinématographie...23/07/2011

          

       CINÉMA.



Variations autour du mot masculin cinéma, à Saint Quay Portrieux.
• Cinéma: Art de composer et ensuite de réaliser un film et en ce qui concerne nos artistes locaux, un film au scénario démagogique "Saint Quay Portrieux Autrement".
• Cinéma: Salle de spectacle destinée à la projection de films.
• C'est du cinéma: ( familier ) ce n'est pas sincère, et je pense au travail des conseillers municipaux au sein du conseil municipal qui ont oublié depuis longtemps le sens de l'intérêt général.
• Faire du cinéma: se faire remarquer par une attitude affectée en l'occurrence celle du maire faisant de la restructuration de la salle classée à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1995 ???, l'objet central de son activité avec la réfection de la rue de sa résidence.
Ces quatre définitions du mot cinéma sur notre ville se recoupent , se mélangent et se confondent.
Pour réaliser son dessein, diriger la ville, pour assurer son succès, M Blanc, avec ses colistiers, n'ont pas fait dans la dentelle, ils ont dépeint la municipalité sortante en la faisant plus noire que noire et distillé la peur autour du coût de la construction de l'aire de carénage.
La distribution du film montrant son ascension a rassemblé surtout des personnes à l'ego surdimensionné et ses colistiers ont découvert un peu tard que sur l'affiche présentant le film, leur nom n'avait pas la même dimension; en majuscule pour M Blanc et en minuscule pour les conseillers jouant ... les figurants.
De plus, les élus n'avaient vraiment pas lu le scénario du film, ils ont découvert sur le tard les répliques sans appel qui donnent le beau rôle à M Blanc.
Quelquefois, il arrive que des participants au film renâclent, ils voudraient que les projecteurs et l'objectif de la caméra s'attardent un peu plus sur leur personne mais, avec la vedette qu'est M Blanc, ils mangent pour la plupart du temps leur chapeau, au mieux, ils boudent.
Des élus ont quitté la production dès les premiers coups de manivelles, ils n'ont pas aimé que le maire tire tout la couverture à soi , manipulé par une espèce de "coach" qui s'est servi d'eux pour régler des comptes personnels avec M Blanc, ils sont sortis de la scène communale sans panache.
Aujourd'hui, on peut dire qu'ils avaient raison de quitter cette singulière réalisation mais leur absence manque aux autres "comédiens" qui veulent sauver le film "Autrement " d'un échec annoncé.
Le tournage du film va durer normalement six années, sa réalisation connaît des à-coups, elle rencontre une certaine publicité lorsque les artistes du casting font savoir leurs différents mais ce qui est acquis pour cette production, ce sont les moyens illimités que lui procurent les finances communales .
Pour cette super production au titre -pas facile à porter -" Autrement" , il fallait une super salle de projection !!!
Le producteur, scénariste, metteur en scène, responsable du casting, M Blanc, aura bientôt l'écran adéquat pour montrer aux quinocéens et à tous les habitants du Trégor et Goélo réunis, des films récents , des films anciens et des films dans le cadre du cinéma d'art et d'essais.
Ce sera le nouveau et beau cinéma "Arletty" et personne, devant le coût délirant de sa réalisation, ne saurait dire le contraire.
Cinéma sans que les élus aient beaucoup discuté de la transformation de la place JB Barat, l'environnement immédiat du cinéma sera somptueux et la réalisation de la voie triomphale menant à l'entrée du cinéma seront à ajouter aux 1 300 000 € déjà engagés dans la restructuration de la salle de projection.

Pour obtenir une subvention du CNC, le maire a jeté aux orties sa promesse électorale, celle de la réouverture rapide du cinéma théâtre.
La réalisation d'un cinéma magnifique, adossée à une place maintenant royale , n'a pas pour autant réglé le montant excessif de son fonctionnement et le torpillage systématique des offres d'appel pour gérer la salle par une DSP.
Il faudra trouver la clientèle et le pari du maire n'est pas gagné pour faire du cinéma l'élément central de sa lutte contre le déclin de la ville.
Les derniers conseils municipaux ont montré ce qu'était "faire du cinéma", se joignant au second adjoint coutumier de nombreux revirements de positions, les conseillers ont taquiné le maire.
Sur le même sujet , ils ont voté pour un soir, puis ensuite contre un autre soir et quelquefois ils se sont abstenus, les auditeurs des conseils n'y comprennent plus rien .
Chez les élus régulièrement en désaccord avec le maire, l'espoir de transformer le comportement du maire à leur égard semble bien mince, les problèmes de personnes qui les opposent sont définitifs et le maire, avec un certain plaisir, s'amuse de leurs attitudes.
Hormis l'adjoint indemnisé, tous les élus en désaccord sont là à titre bénévole, sur le traitement du dossier cinéma ils ont été inopérants et non rien changé à la gestion très personnelle du maire, tout au plus ils ont retardé l'ouverture du cinéma.
La population quinocéenne ne comprend pas que ces élus ne présentent pas leur démission, plus ils tardent et plus ils seront rendus conjointement responsables de cette fuite en avant qui conduit cette municipalité à dépenser sans compter.
Il faudrait, dès la rentrée de septembre, une fois le cinéma inauguré en grande pompe,une fois la curiosité passée, laisser M Blanc seul face à la réalité de sa gestion .
Ce n'est pas pour autant que les futurs démissionnaires rejoignant les plus anciens pourront expliquer les raisons qui les conduit à former cette liste improbable dite "autrement" avec M Blanc.
Entre les élus, leur détestation réciproque aujourd'hui crève l'écran et heureusement que le ridicule ne tue plus.

JOUNENT michel

samedi 16 juillet 2011

le courtisan...16/07/2011

                        L'IDOLÂTRE !!!





Le cinéphile quinocéen auto proclamé, M Letallec, se fait une curieuse idée de la place et maintenant du rôle du cinéma "Arletty" dans la vie de notre commune.
En ville , les amoureux du cinéma.... du vrai!!! celui qui fait réfléchir et qui fait connaître des acteurs magnifiques, sont légion à Saint Quay.
Ce n'est pas pour autant qu'ils demandent à la municipalité de s'endetter en investissant des sommes considérables dans la reconstruction du cinéma.
Le nouveau cinéma sera magnifique avec ses sièges confortables, avec son écran agrandi , avec sa sonorisation exceptionnelle, avec, comble de technicité, son raccordement à un FAI et surtout avec son parvis "grandiose" pour y accéder.
Il est regrettable que le soutien indéfectible au maire, M Ciné StKé, ne s'intéresse que très peu au théâtre, lui l'éminence grise de M Blanc aurait pu lui conseiller de respecter son engagement de rouvrir rapidement le cinéma théâtre municipal.
La polyvalence de cet espace aurait permis d'entrevoir une gestion moins déficitaire.
Les moyens de projection ultra moderne des films récents n'attestent pas que leur diffusion élèvera le niveau culturel des quinocéens , qu'elle leur permettra de réfléchir et de s'instruire, il suffit pour s'en convaincre de plonger dans la liste des films actuellement en vogue dans notre pays.
La plupart des films en 3D sont des productions US et n'ont d'autres rôles que de divertir et de faire partager la culture américaine et, pour les derniers films français ayant eu beaucoup de succès, ils n'ont pas provoqué une élévation particulière de la dimension culturelle du pays.


Le maintien de la scène, des loges et des cintres du théâtre était un moyen sûr de promouvoir des troupes de théâtre amateurs locales et voisines, d'obtenir des représentations de pièces par des artistes reconnus, d'entendre des chanteurs ou d'autres ensembles musicaux , de faire des conférences par l'université du troisième âge et de tenir toutes sortes de réunions.



M Letallec, à l'issu d'un conseil municipal, nous a exposé ses talents, il est cinéphile et modeste.
Cinéphile hier, au lendemain de la seconde Guerre mondiale , c'était pour un petit nombre une approche intellectuelle du cinéma national et international.
C'était pour ces spécialistes du 7éme art, pour ces critiques, le décorticage sans concession de la production cinématographique ,un goût immodéré pour les films aux scénarios abscons et aux plans séquences interminables .
Ces cinéphiles français réunis autour des "Cahiers du cinéma" ont caricaturé le cinéma de divertissement, ils ont, bien sûr, brocardé le cinéma des années soixante des Autant-Lara , Lautner, Verneuil , Audiard et de beaucoup d'autres!!!
Que reste t-il aujourd'hui du cinéma dit "Nouvelle vague"? Pas grand chose, les différents metteurs en scène de cette vague ont fini dans un conformisme confondant. et qui ira revoir prochainement au ciné club d'art et d'essais "Ciné StKé" une rétrospective de Jean Luc Godard? Il n'y aura pas grand monde!!!
Cinéphile aujourd'hui a pour signification le goût pour le cinéma de divertissement (entertainment pour les anglo-saxons ) et rarement pour les films aux contenus ésotériques.
Les français qui se rendent autour de trois fois par an au cinéma sont des cinéphiles , nous sommes tous des cinéphiles et aujourd'hui avec les moyens télévisuels , on est encore plus cinéphile.
Une fois la curiosité passée de découvrir la nouvelle salle, une fois la saison touristique passée, une fois les vacances scolaires passées, il ne restera pas moins de huit mois où le directeur du cinéma devra redoubler d'efforts pour attirer la clientèle.
Le maire avance souvent qu'il a engagé un pari au sujet de ce cinéma restructuré, l'avenir assez proche nous dira si M Blanc a été un joueur heureux avec l'argent du contribuable,
Sans se projeter très loin, le soutien du maire, M Letallec, est à la tête d'un spectacle son et lumière sur la plage du casino, le 15 août , on mesurera si cet éminent animateur de la "Culture quinocéenne" sera plus heureux qu'en 2010 où son initiative "folklorique" avait connu un flop retentissant!!!

JOUNENT michel

jeudi 14 juillet 2011

le 14 juillet 14/07/2011




"LE PHARE" N° 124









Le périodique municipal couvrant l'actualité de la commune, du 1er au 15 juillet a passé sous silence la commémoration de la fête nationale.
En ce jour anniversaire de la prise de la Bastille, depuis 1880 , dans chaque ville et village, la population se rassemble devant le monument aux morts pour rendre hommage aux français morts pour la France.
Chaque année, sous la direction de son directeur de publication, "Le phare", la parution municipale, indique l'heure et le lieu de la commémoration.
Cette année, notre maire toujours plus omnipotent, n'a pas suffisamment contrôlé le contenu de la feuille d'information dont il a la responsabilité.
L'absence de référence au rendez-vous patriotique du 14 juillet 2011 a blessé les associations d'anciens combattants.
L'oubli n'étant plus réparable, ils ont dû se retourner vers la presse pour porter à la connaissance des quinocéens que la manifestation se tiendrait bien en place et heure le 14 juillet.
M Blanc n' a plus qu'une seule préoccupation .... le Cinéma et le reste on verra plus tard!!!
Dans les boites aux lettres, les quinocéens ont commencé à recevoir le semestriel" Saint-Quay-Portrieux infos" N°61.
Dans une période économique où tout un chacun s'accorde pour la voir difficile, où de nombreux nuages noirs s'accumulent sur les finances des collectivités locales, nous avons droit à une brochure où le directeur de la publication n'a pas "mégoté " sur son luxe, sur le grammage du papier et par la quantité du tirage : 3 600 exemplaires. à comparer aux 2 700 de janvier 2011 et aux 3 000 de juillet 2010.
Il est évident que, devant la multitude de soucis rencontrés au sein de son conseil municipal, de toute la mauvaise publicité qui est faite par la presse sur notre municipalité, des dépenses toujours plus élevées sans que l'on sache la réalité de leurs financements, que le nombre de collaborateurs embauchés par le maire n' a pas un coût négligeable, notre maire a besoin de rassurer son électorat et surtout ceux en résidences secondaires qui se sont inscrits sur la liste électorale de Saint Quay Portrieux.
Les articles sur ce semestriel montrent de nombreuses dépenses à venir, il n'est pas inutile de rappeler à ce stade de la vie municipale que la nouvelle municipalité à trouvé les finances laissées par l'équipe sortante particulièrement saines.
En sera t-il ainsi dans moins de trois ans???

JOUNENT michel



lundi 11 juillet 2011

questions pour un maire 12/07/2011

QUESTIONS DIVERSES.







Le point n°18 de l'ordre du jour du Conseil Municipal du 8 juillet " questions diverses" autorisait la curiosité des conseillers municipaux sur les travaux en cours.
Il permettait, ce point à l'ordre du jour, de connaître les dépenses en cours, d'entendre le maire sur ses choix et surtout de comprendre pourquoi la ville est en chantier pendant cette période de vacances.
Après la large adoption du P.L.U et de tous ses aspects complexes, après l'achat du matériel informatique pour faire fonctionner le cinéma suite à un vote où des conseillers trouvent le moyen de s'abstenir... ils sont courageux ces conseillers!!! les auditeurs de ce conseil auraient aimé, pour beaucoup, entendre des explications plus concises du premier magistrat sur les sujets suivants:

Le coût de la réparation du Centre des Congrès exprimé en euros, le montant des indemnités présenté par l'assurance en euros et ce que ce désastre a coûté à la commune.
Sur cet incendie, M Blanc a tout mélangé , les travaux HT, la TVA à récupérer dans deux ans, le logement du concierge transformé en salle de réunion et, pour finir, la présentation en pourcentage entre la dépense TTC et les sommes remboursées par l'assureur.
Comme embrouille, on ne fait pas mieux et on ne sait toujours pas pourquoi il a fallu un an pour rouvrir le centre.
Et puis la commission de sécurité est-elle passée avant l'ouverture des "Océaniques"?

Après la dégradation de nombreuses voitures et l'incendie de la façade d'une maison voisine de véhicules incendiés en 2010, le maire a pris le taureau par les cornes en décidant l'installation de caméras dans le cadre de la vidéo-protection.
Un an plus tard, sur les 10 caméras prévues, 5 caméra fixes sont en places, l'une d'elle n'a pas empêché la destruction d'une baie vitrée du local de la capitainerie du port d'échouage , elle a simplement permis de fixer l'heure du méfait et le nombre de malfaiteurs, cela en visionnant l'enregistrement... maigre résultat!!!
Les questions qu'auraient pu poser les conseillers, étaient pourtant d'une grande simplicité: les délais pour la suite de l'installation des cinq caméras, le coût final de ce moyen de lutter contre le vandalisme et surtout si de la vidéo protection on n'est pas en train de préparer la vidéo surveillance.
La vidéo surveillance , c'est pour une notre ville un moyen de lutte disproportionné contre le vandalisme et surtout son fonctionnement est hors de prix.
Les élus sont restés muets sur le sujet , c'est vrai que le conseil du 8 juillet a été très long et qu'ils étaient sans doute fatigués pour poser des questions.

Le maire a signé le 24 juin 2011, deux arrêtés pour interdire le stationnement des véhicules afin de refaire l'assainissement , les trottoirs et la chaussée de la rue Beaudrit et de l'allée de la Grêve Gicquel (rue du maire ).
La rue Beaudrit a connu la fin des travaux prévus, mais devant les problèmes posés à la circulation du boulevard du Littoral avec sa mise en sens interdit à la hauteur du Gerbot d'Avoine , les travaux pour l'allée du maire sont reportés.
Des élus porteurs de l'intérêt général auraient pu demander humblement au maire pourquoi ces travaux d'embellissement ont ils commencé par sa rue ?, et toujours humblement, pourquoi au moment de l'arrivée des vacanciers ? et surtout en étant très polis de demander à monsieur le maire le montant des travaux dans ces deux rues et le coût du report des travaux dans sa rue. Ils devaient être très fatigués nos élus, qu'ils soient des fidèles inconditionnels ou des réfractaires définitifs à la politique municipale de M Blanc.

Les élus auraient pu s'interroger sur la transformation radicale de la place Jean Baptiste Barat, ils auraient pu demander le montant envisagé des travaux et surtout alors que les travaux de restructuration du cinéma ont commencé depuis décembre 2010, les raisons de faire ces travaux en plein été.
La pharmacie , la poste et les tennis appellent de nombreux stationnement pour les voitures des utilisateurs , c'est vraiment le bazar total dans ce secteur de la ville.
Un conseil municipal de plus de deux heures et demi a du épuisé tous nos conseillers municipaux , c'est la seule explication que je trouve à leur manque de combativité pour poser les bonnes questions .
La municipalité est désorganisée depuis près de trois ans, des élus sont mis sur la touche, certains élus essaient de trouver de l'aide auprès de la Préfecture , pour exiger du maire une autre manière de diriger la commune.
Le maire de son coté avec les seize délégations de signature votées généreusement par l'ensemble du conseil et surtout par son habilité à mener la vie municipale semble plus que jamais indéboulonnable.

Il est grand temps que les élus d'aujourd'hui en total désaccord avec le maire rendent leur tablier et rejoignent les six démissionnaires de mars 2009.
Au moins , ils ne seront plus associés à la gestion très opaque de M Blanc et n'auront pas à répondre de sa politique, sur la fiscalité locale.

JOUNENT michel

samedi 9 juillet 2011

maître du jeu...09/07/2011

LES DIATRIBES INUTILES DU CONSEIL MUNICIPAL!!!




Le 29 ème conseil municipal de cette mandature n'a pas échappé à l'étalage des querelles de personnes.
C'est maintenant une habitude depuis plus de trois ans chez nos élus de la liste "Autrement". Mais c'est aussi et toujours pour le même résultat, la ratification des orientations du maire pour conduire la commune... vers des lendemains qui chantent!!!
Ce n'est pas un chemin bordé de roses la vie municipale! Mais le maire arrive, parmi ses turbulents colistiers, invariablement, à dégager une majorité.
M Blanc a du ressort, quelque soit l'âpreté des commissions, des plénières et des conseils municipaux, il finit toujours par obtenir l'aval de son conseil.
Les problèmes de personnes connaissent un paroxysme inquiétant, les opposants déclarés du maire devant la faiblesse des résultats obtenus se déconsidèrent aux yeux de la population.
Cette opposition est à géométrie variable, elle forme, selon les moments, un aréopage hétéroclite et plusieurs élus qui la forme ont des convictions bien fragiles.
Il faut le dire, cette opposition est sans colonne vertébrale, elle n'a aucune chance de modifier et de remettre en cause la manière et les méthodes de direction de la commune par M Blanc.
La totalité des élus se connaissent depuis longtemps, ils savent mieux que personne leurs travers respectifs et les motivations qui les ont conduit à former une liste aux élections municipales autour de Dominique Blanc.
Les variations de positionnement des élus, pour ne pas dire des "retournements de veste" offrent un spectacle navrant aux quinocéens et la presse locale, toujours à la recherche d'améliorer ses ventes, en fait ses" choux gras".
Deux sujets ont fait l'essentiel de ce conseil du 8 juillet 2011:

le Plan Local d'Urbanisme et le cinéma "Arletty".

le PLU, les explications techniques sur les changements de dénomination des secteurs composant la ville par rapport au POS n'ont pas posé de problèmes, la seule interrogation de taille a été celle concernant l'avenir des services techniques: déplacement ou rénovation?
Evoquée au cours de ce conseil, la possibilité de transférer sur la ZA de Kertugal les bâtiments qui accueillent les services techniques en dit long sur la préparation en amont par les élus du PLU.
Cette idée est curieuse, la ZA de Kertugal occupe une partie pentue de la commune peu propice à l'installation de bâtiments importants, de plus, il faudrait obtenir de la Communauté de Communes la déclassification de la ZA et surtout racheter plusieurs lots à cette même Communauté de Communes...Tout un programme!!!
La démolition -reconstruction des services techniques sur l'emplacement actuel selon le PLU voté par 15 voix sur 17 n'est pas possible, seule, une rénovation des bâtiments actuels est envisageable.
Pour cela, il faudra trouver un financement, après les travaux supplémentaires sur l'aire de carénage (400 000 € HT), après la construction du nouveau CLJ (365 000 € HT) après le cinéma (1 300 000 € HT ) après la place JB Barat (€ ???) après tous les travaux de voiries en cours , avant la reconstruction des quartiers du Casino et des jardins du Portrieux et des déficits multiples, la municipalité actuelle arrivera en fin de mandat, quel sera l'état des comptes publics de la ville et là, bien malin qui dira à ce moment qu'il faut investir dans cette rénovation des services techniques.
Le Cinéma "Arletty.
La restructuration du cinéma est au centre de toutes les préoccupations de notre maire.
Il ne restait plus au maire qu'à se protéger d'un troisième vote le mettant en minorité, pour cela, fini l'achat d'un canapé, d'un distributeur de pop corn et de matériel inutile, il a présenté au conseil municipal des achats raisonnables et il a dégagé une majorité... OUF
Dans ces achats, il y a l'acquisition d'un logiciel sophistiqué qui permettra de simplifier la comptabilité de la régie municipale.
Ce logiciel dégagera du montant du prix du billet la partie revenant à la ville et, bien sûr, comptabilisera les entrées.
La grande nouveauté qui a transpirée de ce conseil, est le raccordement du projecteur numérique à l'ADSL, cela permettra la retransmission d'événements sportifs, culturels (opéras, ballets, musique ) et d'actualités .
Le cinéma sera très bientôt terminé mais pas forcément opérationnel.
Les tarifs de la billetterie sont fixés.(plein tarif 7.50 € )
Il n'y a pas de doute, cette restructuration et ce raccordement à l'Internet feront un magnifique outil pour le divertissement et la culture.
Mais en attendant l'inauguration, on n'oubliera pas que la promesse de rouvrir rapidement le cinéma-théâtre n 'a pas été tenue, que le théâtre à disparu, que le coût des travaux a perdu toute mesure, que l'avis des élus inquiets de toutes ces dépenses ont vu leurs avis foulés au pied, que des embauches ont été faites dans des conditions bien singulières , que l'appel d'offre pour un délégataire de service public a été saboté , que le cinéma ouvrira une fois la saison estivale terminée et, surtout, que ce projet est resté l'affaire d'une petite coterie au détriment du conseil municipal.
Cela fait beaucoup, il est vrai qu'avec l'argent du contribuable, les incompétences n'ont pas de limites.
Ce conseil a montré une nouvelle fois l'habilité du maire à se sortir de tous les mauvais pas, il a tout compris de ses colistiers , il comprend leur psychologie et il les roule dans la farine avec délices.
Les vacances sont là , elles seront bonnes pour M Blanc surtout quand il fera sa journée "portes ouvertes" pour visiter le cinéma , c'est vraiment de la bel ouvrage.
Le maire parie que ce cinéma est la pompe qui va amorcer le renouveau de la ville, en attendant, c'est la pompe à fric avec l'annonce du déficit imposant de ce premier exercice 2011 de fonctionnement.
Les élus se sont déchirés sur cette construction mais, à la veille de l'ouverture, n'est-il pas temps de mesurer pour les opposants l'inanité de leurs actions?
Cette guerre de tranchée ne mène nul part, la moitié de la mandature est dépassée et ils ne feront pas changer les méthodes du maire pour diriger la commune.
Cela devient trop ridicule ces conseils municipaux houleux; il est urgent de laisser M Blanc, un maire particulièrement autoritaire et trop souvent absent de la commune, au prochain jugement des électeurs... en démissionnant.

JOUNENT michel


jeudi 7 juillet 2011

mère Denis... 08/07/2011

   "C' EST BEN VRAI ÇA"!!!
 comme disait la défunte "Mère Denis"


Avec 1 300 000 € HT pour commencer auxquels s'ajoutent le coût de la reconstruction de la place Jean-Baptiste Barat et le dallage de la voie triomphale qui mène à l'entrée du cinéma , les quinocéens et les gens de passage fréquenteront un magnifique cinéma de 180 places.*
Les travaux sont en voie d'achèvement et la date d'ouverture reste encore secrète !!!
Comme trop souvent, le secret est partout dans la gestion communale "Autrement".
La façon de diriger la municipalité sous l'autorité exclusive de M Blanc en est la raison.
Cela conduit a beaucoup de flottement dans l'organisation des festivités locales.
Ainsi, le concours hippique supprimé au dernier moment trouve la source de son annulation chez le ou les responsables du comité d 'organisation, c'est évident .
Dans la préparation de ce concours hippique national, la municipalité a mis des gros moyens pour la tenue de cette manifestation, cette mise a demeure du matériel restera en place jusqu'à la nouvelle date du concours: les 15/16/17 juillet 2011.
On peut imaginer sans problème que les services municipaux débordés en cette période estivale vont connaître quelques soucis par ce report, que les candidats au concours disponibles à la première date ne le seront pas forcément à la seconde, que la réputation du concours hippique national en prend un sévère coup et il y a eu aussi le constat navrant de voir des candidats inscrits au concours qui n'ont pas été prévenus à temps et qui ont trouvé porte close avec leurs chevaux , leurs vans et leurs voitures.
Après ce cafouillage , on reste surpris qu'aucune coordination n'ait été mise en place entre le comité d'organisation et la mairie.
On retrouve le même manque de coordination sur l'arrivée de l'étape du "Tour de France " à la voile.
Manque de coordination entre les autorités portuaires, entre le syndicat mixte du Port d'Armor et entre les représentants de la mairie.
Un exemple, le personnel du port dégage le ponton 7 pour accueillir la flotte de voiliers et, au moment de l'arrivée des premiers concurrents, les représentants de la ville demandent de dégager le ponton réservé en partie aux pêcheurs côtiers.
Un autre exemple, les parkings de Nouveau Port face à l'usine de décorticage des coquilles Saint Jacques sont pratiquement occupés en permanence par des autocaristes, la commune ne s'attaque pas à ce problème de stationnement sauvage et le résultat en est que la fête organisée dans le cadre de l'Etape du Tour se déroule dans un cadre quelconque et tristounet .

Notre maire est enfermé dans ses certitudes, installé dans sa tour d'ivoire , il ne délègue rien et exclut du travail communal des élus compétents, il ne pense plus qu'à son joujou:
 le Cinéma
L'installation des sièges (13 par rangée )                           L'espace de convivialité avec  les WC
 Espérons qu'il lui restera un peu de temps pour faire venir des clients dans cette magnifique salle de projection, dans le cas contraire le déficit de fonctionnement risque d'être abyssal!!!


JOUNENT Michel                                             *l'investissement  pour un siége =  7 222 € HT

mercredi 6 juillet 2011

vélo 07/07/2011


LA PETITE REINE



Les quinocéens ont répondu présent en se pressant nombreux sur le passage du " Tour de France" cycliste dans notre commune.
Foule particulièrement nombreuse sur le site du moulin Saint Michel, monument emblématique de la ville de Saint Quay Portrieux.
Le vent était de la partie et grâce aux bénévoles de l'association en charge du moulin, la télévision a pu retransmettre de magnifiques images de cette belle machine aux ailes tournantes.
Au pied du moulin , les danseurs du cercle "Dansérien Sant ké" et le bagad "Sant ké"ont mis pendant plusieurs heures une sacrée ambiance, en attendant le passage de la caravane publicitaire et des coureurs.
Les coureurs en avaient sous la pédale, ils sont passés très vite au milieu d'une foule enthousiaste.
Une belle journée pour les quinocéens , pour les touristes et pour la notoriété de la ville.

JOUNENT michel

le bazar ...06/07/2011

LA RELANCE DU TOURISME
par la multiplication des travaux de voirie!!!



Le maire en planifiant des travaux de réfection du réseau électrique et de rénovation complète de rues (effacement du réseau aérien, assainissement , enrobé des chaussées et des trottoirs) fait la démonstration en ce début de saison touristique qu'il dirige la municipalité avec un amateurisme achevé.
Du coté de l'hôtel Ker Moor , les tranchées ouvertes rue du Président Le Sénécal pour installer de nouveaux câbles électriques, haute tension , ont profondément gêné l'accès à l'hôtel et ils ont nui à la tranquillité des résidents par les bruits du chantier, durant ces deux beaux mois, mai et juin.
Le trafic automobile sur boulevard du Littoral est depuis la fin juin gravement perturbé.
La mise en sens unique de la partie basse du boulevard est insensée en cette période de l'année, aucune indication n'a été mise en ce début de semaine pour rejoindre le terrain de camping.
Pour terminer les travaux de la rue Beaudrit, les riverains ont constaté que l'on travaillait encore tard en fin de journée, il semble que le chantier de la rue où réside le maire soit arrêté ??? à vérifier ...
Il était temps, la rue de l'allée de  la Gréve Gicquel est mitoyenne au parking de l'hôtel du" Gerbot d'avoine", en mettant le Bd en sens unique, l'accès du parking n'était plus possible, de plus le bruit des engins de chantier rabaissait fortement le confort de l'hôtel.
On se souvient que l'an passé cet hôtel restaurant a fait une très mauvaise saison et qu'il s'est placé en redressement judiciaire
Tout le monde sait que l'avenir de l'hôtellerie est incertain à Saint quay Portrieux , tout le monde, sauf M Le maire qui pour rendre sa rue plus agréable organise les travaux avec des engins de chantiers, des camions semi remorque et autres pelleteuses en plein début de la saison estivale.
Il est vraiment très fort M Blanc pour faire le contraire de ses annonces pré électorales et en particulier celles où il annonçait sortir la ville de la médiocrité et la soulager de la chape de plomb que faisait peser l'ancienne municipalité sur les habitants
En attendant ces travaux commencés , morcelés puis arrêtés vont coûter fort cher aux contribuables quinocéens .
                   
JOUNENT michel

dimanche 3 juillet 2011

Hollywood... 04/07/2011

LA CONTRUCTION DU CINÉMA ...
c'est maintenant"SUEURS FROIDES"





Los Angelès a son "Hollywood boulevard " sur lequel se trouve le "Grauman's Chinése Théâtre " qui sert de salle de spectacle pour la célébration des "Oscars".
A Saint Quay , après d'interminables travaux pour restructurer le cinéma "Arletty" et pour maintenant transformer de fond en comble la place Jean Baptiste Barat, on est dans le faste hollywoodien, on touche le grandiose et on se répand dans le somptueux!!!
Avant hier, le maire et sa coterie qualifiaient le cinéma reconstruit d'être en passe de devenir le plus beau de Bretagne.
Hier , au cours d'un conseil municipal, tout le monde a entendu que cette salle remise à neuf serait digne du festival de Cannes.
Aujourd'hui, avec les aménagements démesurés de la place et de la construction d'une allée "triomphale " menant à l'entrée du cinéma , on reste interdit et pantois.
Ces travaux importants de terrassement vont s'ajouter au coût déjà considérable des choix mégalomaniaques du maire de notre commune.
Mais ce n'est pas tout , le directeur du cinéma a fait augmenter les dimensions de l'écran et, pour permettre une vision correcte, a procédé à la réduction du nombre de places ( de 193 à 180).
L'inauguration du Cinéma" Arletty "finira bien par arriver.
Quand ??? c'est "secret défense" et puis, il y aura le passage de la commission départementale de sécurité avec toutes les incertitudes de son expertise.
En attendant, dans cette large allée, malheureusement sans marche, qui mènera maintenant à l'entrée du cinéma, il n'est pas interdit d'imaginer, comme à Hollywood, de la recouvrir de dalles avec les empreintes de mains et de pieds des promoteurs de la résurrection de cette salle de projection.
Cela aurait de l'allure d'y reconnaître la signature de notre monsieur Cinéma, le conseiller municipal M Néant , celle du cinéphile local Monsieur CinéStké alias M Letallec, celle de Mme la maire -adjointe Mme Quéré, la marraine forcenée de ce monument culturel tant désiré par la population!!! et puis, celle du grand architecte du projet, M Blanc, qui constate avec amertume que ses colistiers ne comprennent pas grand chose aux subtilités de cette réalisation .
Et demain, dès que le succès de ce cinéma sera assuré, il ne restera plus qu'à daller le reste de l'allée par des plaques portant le nom avec étoile des flagorneurs de notre maire qui n'ont ressenti aucune gène par l'usage exagéré des deniers publiques.

Exagéré pour les investissements
 et "colossal " pour le fonctionnement.
  
                    
                   

JOUNENT michel

supporters 03/07/2011

LES DEUX TOURS DE FRANCE...






De nombreux quinocéens ont répondu en fin d'après midi, à l'initiative de la municipalité, pour clamer leur plaisir de voir passer le 6 juillet 2011, les coureurs cyclistes du Tour de France sur une partie de Saint Quay Portrieux et le même jour de voir l'arrivée d'une étape du Tour de France à la voile au Port d'Armor.
En passant par la jetée de l'ancien port, ils se sont regroupés , la plupart vêtus de jaune, au pied du phare,  monument emblématique de la ville.
Un moment convivial et très sympathique.



JOUNENT michel

samedi 2 juillet 2011

saccages 02/07/2011


SOUS L'OBJECTIF D'UNE CAMÉRA VIDÉO.





Celle située au port d'échouage a enregistré dans la nuit de jeudi à vendredi 1er Juillet, autour de deux heures du matin, les silhouettes de quatre voyous saccageant avec une grosse pierre l'une des  baies  vitrées de  la capitainerie.
  

Ces individus ont jeté à la mer des barrières métalliques et cassé le poteau supportant la boite aux lettres.
L'identification de ces crétins semble difficile, voire impossible.
A peine installées, les caméras fixes montrent leur inéfficacité, c'était attendu.
Notre maire, cet élu si dépensier, va devoir nous expliquer quelle étape il compte franchir pour que cette installation encore embryonnaire produise le service escompté, celui de tranquilliser les quinocéens.
Avec 100 000 € investis, il va avoir toute les peines du monde pour nous faire croire qu'il a choisi la bonne solution pour mettre un terme à la délinquance locale.

JOUNENT michel