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dimanche 30 janvier 2011

un acte de civisme ...31/01

SE MÊLER DES AFFAIRES COMMUNALES.....
UN ACTE DE CIVISME.

Quand on conteste une délibération de son conseil municipal , il est possible de faire un recours auprès du tribunal administratif de sa région.
On ne peut pas seulement déposer une requête pour demander la suspension provisoire de ce choix communal , il faut aussi déposer une requête en annulation de la délibération que l'on croit entachée d'illégalité.
Deux mois après le conseil municipal du 29 octobre 2010 , le maire n'avait engagé aucune démarche pour réaliser l'achat des murs du fond de commerce de la librairie du port.
Il y avait pourtant, à l'écouter au cours de ce conseil , URGENCE à voler au secours de ce commerçant pris à la gorge par une banque dénommée "Le requin". et menacé par un commerçant rival appelé "le vautour".
Sur le vote de la délibération N°10/117 , il est nécessaire de rappeler que cette décision a été obtenue à la hussarde.
7 voix pour, 5 voix contre et 3 abstentions et 2 voix refusant de participer au vote, sur 17 élus ou représentés. ...7 sur 17... tout un programme!!!
Pourtant, ce soir là , un consensus se dégageait pour le report de l'examen du projet.
En exigeant que les élus se comptent et qu'ils ne soient pas en possession de tous les éléments du problème posé , le maire n'a pas respecté ses colistiers.
Les trois abstentionnistes n'ont pas fait preuve d'un courage exceptionnel , quant à G.Brezellec, en refusant de voter, il a continué à saper l'autorité du maire, son ami Dominique.
L'adjoint Brezellec connait, en tant que vice président du Sudgoélo, l'étude de dynamisation commerciale réalisée pour le compte de la communauté de commune, on y trouve dans ce document le prix du loyer moyen par m² et par mois sur la ville de Saint Quay portrieux , il est de 16 €.
Il ne pouvait pas ignorer que pour les 52 m² de la boutique de presse et de jeux, le loyer demandé aurait dû tourner autour des 10 000 € HT annuel , la délibération votée en demande 5 000 € .
Le maire, ultérieurement, par voie de presse, a porté ce loyer à 6 000 €.
Le 9 janvier 2011, les propriétaires de la maison de la presse écrivent au maire "nous acceptons pour ce commerce de 52 m² un loyer de 6 000 € HT et hors les charges par an , afin de ne pas léser la concurrence entre commerçants".
Dans cette délibération , l'état de copropriété que devient cette maison n'est pas clairement établi, de plus, en cas de cessation d'activité en regard du loyer pratiqué ,on peut envisager la possibilité d'une spéculation sur la vente du droit au bail 3/6/9.
Le choix de cet achat est arbitraire et n'a pas échappé à l'union des commerçants de Saint Quay Portrieux.
L'union déplore le manque de concertation préalable avec la Mairie, elle souligne que l'argument de l'urgence n'est guère recevable, elle indique que les conditions d'achat créent une distorsion de concurrence avec d'autres commerçants et que, selon une circulaire ministérielle présentant le FISAC, il est précisé que toute intervention des collectivités dans le rachat des murs de commerce doit se faire sans distorsion de concurrence.
L'union des commerçants déclare"nous sommes loin du compte".
Pour des raisons qui lui sont propres, l'union des commerçants n'a pas engagé un recours contentieux.
Contre mes deux requêtes adressées au tribunal administratif de Rennes, les avocats parisiens du maire ont axé la défense de la municipalité sur l'irrecevabibilé de ma démarche en soutenant que je n'établissais pas l'existence d'un intérêt personnel suffisant , directement lésé par la décision attaquée me donnant qualité pour agir.
Ils ont aussi présenté, entre autre , un argument terrible pour s'opposer à ma demande de suspension en déclarant qu'elle rendrait irrémédiable les difficultés économiques de ce commerçant et entraînerait la fermeture de la librairie du port
Ils n'ont pas été suivis sur l'irrecevabilité puisque l'audience publique en référé s'est tenue le 21 janvier 2011, certes, je n'ai pas obtenu la suspension en urgence de la délibération N° 10/117 dont l'illégalité me paraît patente, mais dans un délai malheureusement trop long ma requête sur le fond visant à l'annulation de cette délibération viendra en audience devant la Président et les juges du Tribunal Administratif de Rennes .
Dans le premier mémoire réalisé par le cabinet parisien d'avocats, il est indiqué que ce commerce de presse a des difficultés de trésorerie, le chiffre d'affaire est en baisse.
La commune achète les murs pour consolider l' endettement des commerçants et qu'ils puissent poursuivre une activité viable.
Chacun est en mesure de mesurer la fragilité économique de ce commerce et la possibilité, si la municipalité met en oeuvre sa délibération, de voir se multiplier les demandes d'achat par la ville des fonds de commerce en grande difficulté.
Dans notre ville, le commerce de proximité est dans une mauvaise situation et après tant d'années de déclin, les solutions pour sortir de ce marasme sont loin d'être individuelles .
Dans cette déconcertante affaire , le maire a fait fort en faisant la demande de mettre à ma charge la somme de 3 000 € en application de l'article L.761-1 du code de justice administrative.
Le tribunal de Rennes a rejeté cette demande de la ville de Saint Quay.
Ces 3000 € représentent les honoraires des avocats, ils viennent s'ajouter aux 7 500 € d'honoraires payés à ces mêmes avocats parisiens pour "débarquer" en vain l' adjoint au maire William Abbest.
Notre maire exhorte les quinocéens à faire leurs courses dans les commerces de proximité de la commune, il ferait bien, au niveau de ses affaires judiciaires, de contacter des avocats du cru; pour le même résultat, cela aurait coûté nettement moins cher à la commune.


JOUNENT michel












vendredi 28 janvier 2011

communiqué N° 2

COMMUNIQUÉ N°2.






Le Tribunal Administratif de Rennes a notifié l'ordonnance suivante du juge des référés en date du 27 janvier 2011.
ma requête pour suspendre en urgence la délibération  N°10/117 *du conseil municipal est rejetée.
la demande en application de l'article L761-1 de la commune de Saint Quay Portrieux de mettre à la charge de JOUNENT michel la somme de 3 000 €, est rejetée.

Sans rentrer dans les détails, l'ordonnance met en évidence la recevabilité de mes requêtes en tant que résident permanent, électeur et contribuable de la commune, ce que ne voulait pas admettre la défense de la municipalité.
L'ordonnance, d'autre part, déclare que cette délibération n'altère en rien les finances publiques de la commune d'où l'absence de suspension à l'exécution de la délibération.
Enfin, le jugement sur le fond sera examiné dans des délais encore non définis.

L'ordonnance est d'une lecture complexe et je reviendrai précisément sur toutes les conséquences de cette décision , MI-CHEVRE, MI-CHOUX!!!

*achat des  murs de la boutique de  la  presse du port  pour  100 000 € HT  et  location de ce fond  à  l'ancien propriétaire pour  5 000 € par an

JOUNENT Michel






dimanche 23 janvier 2011

la baie de Saint Brieuc...23/01/2011

SUR LES STATIONS BALNÉAIRES
DE LA BAIE DE SAINT BRIEUC.


Si l'installation de fermes éoliennes en baie de Saint Brieuc peut fédérer les principales stations balnéaires à faire une réponse commune aux problèmes posés par ces constructions et en particulier autour de la pêche de la coquille , il est peu probable que sur les autres problèmes , la réunion à l'hôtel de ville de Saint Quay le 20 janvier 2011 des maires d'Erquy, du Pléneuf-Val André et de Binic, à l'initiative de notre maire, est pu dégager une position commune. tant la différence entre ces trois villes et la nôtre est considérable.
Il y a un demi siècle, les quatre villes étaient reliées à Saint Brieuc par le petit train des Côtes d'Armor, les voitures étaient encore peu nombreuses, les vacanciers moins exigeants sur le temps et le confort, les algues vertes inexistantes.
C'était l'âge d'or de ces stations balnéaires.
A l'est de la baie, les villes d'Erquy et de Pléneuf-Val André font partie d'un même canton, celui de Pléneuf et de la même communauté de commune celle de "La côte du Penthièvre".
A l'ouest de la baie , les villes de Binic et de Saint Quay Portrieux font partie aussi d'un même canton, celui d'Etables sur mer et de la même communauté de commune , celle du "SudGoélo".
• Erquy en 2006 comptait 3 742 habitants et une densité de 141 habitants au km².
• Pléneuf -Val André en 2 006 comptait 4 092 habitants et 232 habitants au km².
• Binic en 2006 comptait 3 436 habitants et 577 habitants au km².
• Saint Quay Portrieux en 2011 comptait 3 308 habitants et 856 habitants au km².
Ces quatre villes ont une population comprise entre 3 et 4 000 habitants mais ont des superficies bien différentes.

Les trois premières villes possèdent encore des réserves foncières, ce n'est pas le cas de la nôtre.

On peut imaginer qu'en voisin le maire de Binic n'a pas découvert l'endormissement de notre commune, les maires d'Erquy et du Val-André ont dû faire un constat déprimant quand ils ont traversé notre cité endormie.
Pour ceux qui se déplacent, qui visitent les rivages Est de la baie, les changements intervenus depuis quelques temps sur l'activité commerciale, touristique, culturelle sont considérables.
- A Pléneuf-Val André et au Val en particulier, la foule se presse les jours de la semaine et encore plus le W.E , les résidents secondaires, hors saison estivale, sont nombreux et en particulier ceux venant de Rennes .
- A Erquy, la municipalité a réalisé un lieu d'exposition ramenant de nombreuses manifestations culturelles tout au long de l'année.
- Dans les trois villes représentées par leur maire, l'offre de restauration et d'hôtellerie est conséquente , chacun peut constater en passant par Binic qu'il n'est pas difficile de trouver une table sans réservation.
- Au Val André, la réalisation d'une thalassothérapie à " booster l'ouverture et la réouverture de nombreuses enseignes et en particulier celles d'un certain renom.
Les équipes municipales dans les villes d'Erquy, Pléneuf et Binic ont changé au cours de ces dernières décades , tant par les femmes et les hommes ou par des orientations politiques différentes mais il semble bien qu'à chaque élection, la préoccupation première des nouveaux élus n'était pas, comme à Saint Quay, de démolir le travail de l'équipe sortante.
Notre ville, depuis trop longtemps, a tardé à faire un grand travail d'adaptation, elle est passée à côté des exigences et des nouveaux goûts des touristes, elle n'a pas su se différencier au niveau du commerce de proximité face à la grande distribution.
Dans cette affaire d'adaptation les municipalités successives ne portent pas toute la responsabilité de ce désert commercial qui s'installe, les initiatives privées n'ont pas été à la hauteur des défis posés.
Les commerçants au niveau de leur union locale sont faiblement organisés,ils ne sont qu'une trentaine sur une centaine d'enseignes.
La municipalité sortante s'était fixée une étape importante dans la relance de notre commune, celle de la rénovation et le sauvetage du patrimoine .
Cette promesse a été tenue pour le moulin Saint Michel, les chapelles Ste Anne et de Kertugal, le gymnase de l'espérance , le Centre des congrès, la réfection de la voie centrale traversant la commune -Victoire, Foch et Leclerc-, la réfection permanente du Gr 34 ,la réhabilitation de  l'ancien hôtel de ville, la construction de l'aire de carénage, complément indispensable au port en eau profonde et le tennis couvert.
Revivifier la ville n'est pas simple , les élus candidats volontaires et honorés par le vote majoritaire des quinocéens ont un travail énorme à réaliser, le travail est titanesque pour retrouver le lustre d'antan.
En attendant , il est grand temps que notre maire fasse comme ses collègues des stations balnéaires de la baie , le "Job" pour lequel il a été élu .
Autrement dit, qu'il soit un maire à temps complet en partageant la direction de la municipalité avec ses collègues du conseil municipal.
Ce n'est pas normal de laisser des élus et des compétences sur la touche.
Il y a urgence, monsieur le maire, surtout autour du GR 34 fermé depuis plus d'un an sur sa partie la plus touristique et cette réparation ne passe pas par Paris.

JOUNENT michel

vendredi 21 janvier 2011

communiqué N° 1




COMMUNIQUÉ.




Le Tribunal Administratif de Rennes a tenu audience publique ce vendredi 21 janvier 2011.
Il donnera sous huitaine sa décision sur ma requête en référé visant à suspendre l'exécution de la délibération N°10/117 du conseil municipal de Saint Quay Portrieux en date du 29 octobre 2010.
Par cette délibération N° 10/117 , la municipalité achète les murs d'un fond de commerce de journaux et de presse situés quai de la République pour la somme de 100 000 € HT et les loue pour 5 000 € HT par an.
JOUNENT michel



mardi 18 janvier 2011

les valses

On connait "la valse de Vienne ".
On se souvient de "La valse à mille temps" chantée par J. Brel.
A Saint Quay Portrieux ainsi qu'à Kertugal, il va falloir s'habituer à "La valse des emprunts".

En dix huit mois, dans le cadre de ses délégations de signature ( la deuxième sur seize) ,le maire a contracté au nom de la commune un second emprunt de 1 000 000 €.
Emprunt s'étalant sur quinze ans au taux de 4,04 % pour couvrir des travaux d'investissement.
On se rappelle de l'emprunt précédant de 1 000 000 € en juillet 2009 dont une partie (400 000 €) était nécessaire pour clore le financement soi disant insuffisamment établi de l'aire de carénage.
On sait depuis peu , selon l'expert en affaire portuaire G Brezellec, que l'arrêt des travaux était une erreur, encore un petit effort M l'adjoint pour reconnaître que les modifications apportées à cette surface de travail étaient aussi inutiles et on finira par admettre au niveau de la direction municipale que cette somme de 400 000 € ajoutée au financement initial représente un gâchis et une dépense inutile.
Sur ces deux millions d'euros empruntés, 1 400 000 € correspondent à des travaux d'investissement faits ou à venir.
Les annuités de remboursement se repartissent pour la partie du capital, dans le budget "investissement " et les intérêts dans le budget "fonctionnement".
Le ratio entre ces deux comptes balance dangereusement du côté du fonctionnement et ce n'est pas ce nouvel emprunt qui va rétablir la situation.
Les solutions à ce déséquilibre sont faciles à imaginer , soit une coupe sombre parmi le personnel soit une augmentation des impôts. L' avenir nous le dira!!!
Où est passé l'auto financement que l'on pouvait lire dans l'audit réalisé par un cabinet d'expertise international sur la gestion antérieure.
Audit au demeurant très onéreux, et loin de correspondre aux attentes du maire.
Ce million d'euros emprunté est pour des travaux d'investissement.. lesquels ?
Actuellement nous ne connaissons pas le plan de financement du cinéma et nous ne savons toujours pas le montant des assurances couvrant les dégâts du Centre des congrès.
Le maire a promis l'ouverture du Cinéma pour l'été et la réouverture du centre pour le printemps, cet emprunt n'est 'il pas souscrit pour relever ces défis?
L'arrêté (10 DG 20 ) de cet emprunt est en date du 23 décembre 2010 quelques jours auparavant le 17 décembre 2010 le conseil municipal tenait séance et il n'y a pas eu la moindre allusion à cet arrêté.
Le maire rendra compte de sa délégation de signature et de son arrêté le jeudi 3 février 2011 !!!
La démocratie municipale avec M Blanc est en marche... en marche arrière.

JOUNENT michel



dimanche 16 janvier 2011

la pie N°3

LE MYSTERE DE L' AFFICHETTE JAUNE... 3ème épisode.



Chers amis qui attendez avec impatience la suite de votre feuilleton local " mais ki c celui qui la volé l"affichette",devant la maison de la presse centre ville,voici de quoi satisfaire votre curiosité bien légitime.
Petit résumé des chapitres précédents: l'affichette "Presse d'Armor" en date du 5 Janvier fit trois petits tours et s'en allât définitivement.
Celle du 12 janvier restât quelques heures et subit le même sort,avant de réapparaitre sous la forme d'une photocopie de couleur blanche (l'originale étant jaune).
Coup de théâtre Samedi, pffit,envolée une fois de plus ,avant de reprendre sa place Dimanche.
Bien,vous n'avez pas tout capté,prenez une aspirine,relisez encore une fois ma prose,tout s'éclaire????Nous pensames un moment que la coupable était une pie coquine à l'humeur badine (d'ou la photoco... pie ...)mais nous devions bientôt nous rendre à l'évidence,la pie voleuse était du genre bipède mécontent des faits (avérés) relatés dans la sus dite Presse d'Armor.
Dressons le portrait robot de ce contestataire: il s'agit mais c'est bon sang bien sûr de quelqu'un qui passe ses week end à St Quay (cela élimine de facto les absents ) mais l'indice est mince.
Je n'ai pas envie de faire travailler mes méninges (mes 35 heures hebdomadaires m'interdisent de faire des heures sup).Le pourfendeur de la Presse d'Armor va t il encore frapper???
Vous le saurez bientôt en lisant la suite du Mystère de l'affichette jaune.

P.S. Les faits relatés ci dessus sont rigoureusement authentiques et toute ressemblance avec un personnage existant ne saurait être fortuite.

DUNIS Gilles.







vendredi 14 janvier 2011

fils aériens...14/01/2011

UNE AFFAIRE RONDEMENT MENÉE !!!

La délibération N ° 10/09 du 14 janvier 2010 autorisait le maire à signer une convention et des avenants éventuels avec le Syndicat Départemental d'Electricité des Côtes d'Armor.
Il s'agissait de procéder par des travaux à l'effacement du réseau d'alimentation aérien d'électricité et d'installer de nouveaux lampadaires.
Les voies concernées étaient la rue Beaudrit et l'Allée de la grève Gicquel.
Le montant évalué de cette entreprise s'établissait à 24 700 € TTC dont 14 820 € à la charge de la commune.
Le chantier se termine et le résultat est plaisant.
Au cours de ce conseil , devenu fameux par sa suspension en cours de séance faute de quorum, J.Lucas avait posé la question qui fâche :
Pourquoi commencer par ces rues? et le maire, fort de son autorité, avait répondu avec dédain : il faut bien commencer par quelque part !!!
Pour les amoureux de la ville , ceux qui la traversent en piéton, ceux qui apprécient sa singularité et la beauté de certaines de ses constructions, il y a des rues au Portrieux autour du restaurant fermé "La bienvenue" ou en centre ville comme la rue de "La bourgade" qui méritent l'effacement du réseau aérien, tant le spectacle de tous ces fils traversant les rues est attristant.
Mais voilà, le maire a préféré, sans vergogne , que ces travaux commencent par la rue où il réside et celle du président de l'association "Ciné st-ke", candidat à la gestion associative de la future prestigieuse salle de cinéma "Arletty".
Du côté du Gerbot d'avoine, les rues perpendiculaires au début du Boulevard du Littoral, deviennent très "sympa " (trottoirs, enrobé, éclairage , évacuation des eaux pluviales ) ,il en est de même pour tout ce quartier.
A l'inverse, du côté du centre ville, le trottoir pair de la rue de Dôl est dans un état épouvantable (arbres en mauvais état , racines affleurant le goudron , herbes folles, trottoirs défoncés) , c'est désolant.
Le choix fait par le maire, entre des travaux dans une impasse quasiment privée , la sienne, et l'abandon d'une rue passagère, met en doute l'authenticité de sa conviction à bien gérer la ville dans l'intérêt général.
JOUNENT michel

jeudi 13 janvier 2011

la pie N°2

LE MYSTERE DE L'AFFICHE JAUNE (2ème épisode)



Résumé de l'épisode précédent:


L'affiche de la Presse d'Armor du 5/01/2011 ayant disparue, l'enquête dilligentée par des seconds couteaux locaux semblant au point mort, nous avions fait notre deuil quant à la capture de ce rusé volatile, à savoir la pie voleuse et nous attendions avec fébrilité la parution du 12/01 (on devient vite accro tant les prétxtes à rire ou sourire se font rares en ces temps de morosité ).
Bref, ce matin 12/01, tel le nouveau Duboeuf, elle était là notre affichette, tout au moins à 8 heures.
Je passe sur le titre moins raccoleur que celui de la semaine dernière,mais on ne peut pas être au top à chaque fois (n'est ce pas Monsieur Jounent....petite plaisanterie amicale.....),mais sa présence me rassurait, la pie voleuse avait émigré vers des cieux plus cléments.Hélas ,la suite me prouvât que non.
Vers 15heures j'hallucine, je suis limite défibrilateur, la pie est revenue plus d'affiche, le désert des Tartares, j'angoisse.
Les fins limiers locaux me semblants un peu frêles pour une telle enquête,il ne nous reste plus qu'à nous adresser à des officines parisiennes de haute volée, genre beaux quartiers (attention, méfiance, ce n'est pas gagné pour autant...), et là, gare à tes plumes la pie chapardeuse.
A suivre ....peut être Mercredi prochain....

DUNIS Gilles








mercredi 12 janvier 2011

les faux amis !!!

A propos de  la  parution du N° 23,

des"amis de Saint Quay Portrieux et ses environs" , elle ne porte vraiment pas son nom en répandant de fausses nouvelles!!!

Elle annonce la fermeture des hôtels-restaurants le "Gerbot d'avoine" et du "Saint Quay", ils sont, et c'est déjà difficile pour eux, juste en règlement judiciaire et restent ouverts.
La délibération N° 10/117 votée par le conseil municipal du 29 octobre 2010 vise à acheter les murs du fond de commerce de la maison de la presse sur le vieux port pour 100 000 € et la location de ce local au propriétaire actuel pour un loyer de 5 000 € annuel dans le cadre d'un bail 3/6/9.
Dans cette parution, on peut lire que la ville va acheter l'immeuble pour 150 000 € ??? pour aider le commerce à survivre.
Hormis le fait que cet immeuble n'est en réalité qu'un pavillon , le rédacteur s'interroge sur la nécessité et la logique de cet achat
Je ne suis donc pas seul a avoir cette interrogation.
Par contre une mauvaise nouvelle est connue depuis ce matin, un commerce est en liquidation judiciaire et maintenant fermé.
Il s'agit du salon de thé, glacier, crêperie et restaurant au 4 rue de la plage, "Le tempo".



C'est bien joli d'affirmer que l'on est au-dessus de la mêlée, de prétendre au dépassement de la vision superficielle de la vie municipale, encore faut-t-il cesser d'être la roue de secours du maire D.Blanc au niveau de l'information communale
C'est visible avec un article détaillé sur l'état des falaises , l'histoire et le statut du chemin des douaniers.
Un an après la fermeture du GR 34 à la hauteur du Ker Moor, il est grand temps que la municipalité comprenne, en lisant ces articles, qu'il est urgent d'entamer les travaux de restauration de notre capital touristique.

Mais le pompon de cette connivence avec la municipalité , cette espèce de courroie de transmission de l'information qui n'est pas faite pas nos élus mais par cette parution , c'est l'interview de G.Brezellec.
On y découvre quelques unes de ses idées très personnelles sur l'ensemble portuaire.
Il revient sur la démolition de la carcasse de l'hôtel inachevé pour février 2011 déjà promise en octobre 2010.
La construction rapide d'un ensemble appartenant à la coopérative maritime est soumise à l'accord d'un permis de construire, actuellement cette dernière connait bien des soucis au niveau management et elle semble avoir des problèmes financiers plus urgents à régler.
Passons sur le rôle de cet élu pour renflouer le budget annexe de l'aire de carénage par le budget excédentaire du port d'échouage.
Passons sur l'idée d'installer sur la digue ouest du port d'échouage un terre plein avec une cale partant vers le large et, dans l'attente de cette réalisation, l'installation des dériveurs dans l'aire de carénage au milieu d' un enclos grillagé avec une porte à ouverture par carte magnétique ???
On imagine déjà les gamins au milieu de la manutention des bateaux.
Cet élu n'est jamais à court d'idées , il suggère d'installer un parking pour camping cars le long de l'entreprise "Celtarmor" et derrière le futur bâtiment de la coopérative maritime.
L'odeur à cet l'endroit , le remplissage bruyant des containers par des coquilles St Jacques vides, la criée avoisinante avec les rotations de poids lourds feront à l'évidence un coin charmant pour ces amoureux du voyage .
Si vous voulez savoir ce qui se passe dans notre ville , attendez la parution "des amis de Saint Quay" ou plus exactement des amis du maire.

Vous en saurez certainement plus qu'en lisant "Le phare", "le blog municipal" et le semestriel "St Quay Portrieux infos".

JOUNENT michel








mardi 11 janvier 2011

au voleur!!!11/01

LE VANDALISME REPREND !!!


La police municipale est sur les dents.

Qui a osé retirer l'affiche de " La Presse d'Armor" en date du mercredi 5 janvier 2011, devant la maison de la presse au centre ville.
Plusieurs hypothèses sont étudiées, des tests ADN sont en cours.
Après "Le mystère de la chambre jaune" et "Le parfum de la dame en noir",le mystère de la disparition de l'affiche "jaune" qui dérange sera t'il résolu ?
Certainement pas,mais de toutes façons tous les quinocéens ont eu le temps de se gausser des deux titres accrocheurs publiés sur cette affiche.
Ah vivement la vidéo-surveillance à 120 000 € HT et surtout il ne faudra pas omettre de diriger une caméra sur la "maison de la presse" car dans les semaines à venir il y aura d'autres récidives ,les deux affaires n'étant pas encore réglées . ( tout comme la facture pour les quinocéens ).
Lorsque l'on commence à s'attaquer à la liberté d'information, cela ne sent pas bon !!!
Mais d'un seul coup , l'idée me vient et si j'étais paranoïaque , après tout si un coup de vent ou bien une pie voleuse était responsable de cette disparition.
Mais dans ces cas , le hasard aurait bien fait les choses en s'attaquant seulement à l'affiche de " la presse d' Armor" en délaissant les affiches aux titres anodins des quotidiens régionaux.
Je cours chez mon psy...je commence à délirer.

DUNIS gilles

vendredi 7 janvier 2011

les affaires judiciaires

DEUX AFFAIRES AU TRIBUNAL ADMINISTRATIF.
DEUX AFFAIRES DISTINCTES
MAIS UN POINT EN COMMUN.

C'est le recours par le maire à des avocats parisiens... des beaux quartiers!!!
Dans le procès qu'il a fait à W.Abbest , le maire a eu l'outrecuidance d'utiliser les deniers municipaux pour régler un compte personnel.
On connait la suite , les TA de Rennes et de Nantes ont renvoyé notre irascible magistrat à la réalité .... le mandat de maire ne permet pas tout.
Mais comme il est têtu, tout en n'étant pas breton, il est capable d'aller au devant du conseil d'état ( jamais deux sans trois).
W.Abbest a bien raison de demander la prise en compte par la municipalité de ses frais d'avocat et surtout de faire apparaître au grand jour les frais réels engagés par le maire.
Pour déshonorer W.Abbest ,le maire n'a pas fait dans la dentelle, il a engagé un ou les avocats d'un prestigieux cabinet d'avocats du 7éme arrondissement de Paris (quartier des ministères) .
La justice a tranché....et pan sur le bec!!!
Sur mon affaire , ma requête en référé pour surseoir dans un premier temps à l'achat des murs d'un commerce de presse, la municipalité est en droit de mandater un défenseur.
Si le maire est sûr de la légalité de la délibération N°10/117, il n'a pas besoin de se faire conseiller par un avocat.
Il devrait comme moi avoir confiance en la justice de notre pays.
Il n'en est rien , il a fait appel à un avocat.
Pour lui, il n'y a pas que la ville qui ressemble "au désert des tartares" pour reprendre le discours de ses voeux à la population , il y a aussi toute la Bretagne; la preuve, c'est qu'une fois de plus, il engage une avocate du barreau de Paris spécialisée au Conseil d'état et à la Cour de cassation.
Déçu du jugement contre Abbest, il change de défenseur et de quartier, on passe au 17 ème arrondissement de Paris tout près de l'Arc de triomphe.
Encore une dépense démesurée... En Bretagne et à Rennes, il doit bien rester quelques avocats fréquentables mais voilà, Paris sera toujours Paris et, hors la capitale, point de salut pour le maire , son fameux carnet d'adresses ne comporte que des adresses parisiennes.

"Un euro dépensé sera enfin un euro utile" ,
 que reste t-il de cette tartufferie ???

JOUNENT michel


jeudi 6 janvier 2011

tout va très bien

TOUT VA TRÈS BIEN
MADAME LA MARQUISE !!!

Devant un parterre réduit , le maire a présenté les voeux de la municipalité aux quinocéens pour l'année 2011.
Dans le gymnase de l'Espérance à la sonorisation incertaine et sous le bruit important fait par la pluie, on a eu droit à un lénifiant exposé sur l'année passée et sur les perspectives nous menant jusqu'en 2020???
C'est très singulier de voir le Maire se livrer seul, sur une estrade, à cet exercice des voeux , ailleurs en général le maire s'entoure de son conseil.
A Saint Quay , nous le savons, il y a le maire et plus loin, vraiment plus loin, les conseillers municipaux.
Depuis 2008 , le maire se coupe de son conseil et de ses colistiers, il exerce sa responsabilité dans l'autoritarisme et dans le déni du travail collectif.
Et ce n'est pas ce que l'on a entendu ce 5 janvier 2011 qui va nous rassurer sur cette dérive de la manière à mener les affaires communales.
Depuis 2008 ,la presse locale et la presse régionale n'ont pas à se plaindre, ils peuvent faire "leurs choux gras " sur cette profusion d'informations déroutantes provenant de notre municipalité.
23 élus hilarants en mars 2008 de la même liste et moins de trois années plus tard les sourires au sein de cette équipe sont figées et les mines tristes.
Depuis décembre 2008 , il n'y a plus d'élu sérieux et compétent sur le secteur essentiel des travaux.
On pourrait passer au crible le travail des élus et en particulier celui des adjoints et on constaterait que pas grand chose n' émerge .
Le maire s'occupe de tout et continue à s'absenter trop souvent de la commune.
Mais pour continuer la chanson de Ray Ventura, notre maire ressemble de plus en plus à la marquise , pour lui, les mauvaises nouvelles s'accumulent.
Rappel des avatars de M Blanc (résumé non exhaustif et pas forcément dans la chronologie des faits)
rapidement une opposition de 12 élus se forme autour d'Erwan Marion.
le maire informe la presse que G. Brezellec a voulu lui casser la figure.
le maire porte plainte pour cette agression.
"l'agresseur" porte plainte contre le maire .
le maire retire les délégations de signature à W. Abbest et G. Brezellec et ils perdent leurs indemnités de fonction.
G. Brezellec et W. Abbest sont réélus une seconde fois maires adjoints.
Le maire et G Brezellec retirent réciproquement leurs plaintes.
Une pétition circule pour la construction du funérarium local...en vain
G. Brezellec retrouve sa délégation de signature et ses indemnités de fonction.
six élus démissionnent avec fracas.
la première mouture de la restructuration du cinéma est jetée aux orties par le service des monuments classés.
un conseil municipal est suspendu en cours de séance , des élus quittant la salle du conseil.
le maire porte plainte au TA de Rennes pour déchoir W. Abbest de son mandat d'élu.
le maire, suite à l'échec de cette plainte, se pourvoit en appel au TA de Nantes.
le maire porte plainte contre le président et le secrétaire du LEQ.
Cette plainte échoue et le maire en " plaisantin" affirme qu'il voulait seulement distribuer "un carton jaune"au LEQ.
une pétition circule contre le plan de circulation du Portrieux à l'initiative du comité de quartier.
. une pétition circule contre la destruction du minigolf à l'initiative du LEQ.
le maire est débouté par le TA de Nantes, W. Abbest reste élu et maire adjoint.
Un référé est déposé contre la municipalité pour surseoir à l'achat des murs de la maison de la presse du Portrieux.

Le maire a un rapport difficile avec ses collègues , après cet échec visant à débarquer son adjoint, les conseils municipaux, déjà bien houleux, vont le demeurer.
Sur ce bazar permanent, sur cette municipalité devenue "une boutique de farces et attrapes" où est la défense de l'intérêt général?

Tout va très bien madame la marquise mais il faut que l'on vous le dise ,on déplore beaucoup de petits riens ... etc

JOUNENT michel














mardi 4 janvier 2011

le sudgoélo

LA COMMUNAUTÉ
DE COMMUNES " SUDGOÉLO"

Elle épouse les limites du canton d'Etables sur mer, elle regroupe six communes Binic, Etables sur mer ,Lantic , Plourhan , Saint Quay Portrieux et Tréveneuc ( autour de 14 000 habitants).
Elle est dirigée par un conseil communautaire de vingt-quatre délégués.
Notre ville a six représentants dans cette instance.
Ces vingt-quatre conseillers ont été élus par leur conseil municipal respectif.
A la direction de cette communauté de communes , il y a un Président et cinq Vice-présidents, ils tiennent leur responsabilité d'une élection au sein du "Sudgoélo".
Ils reçoivent pour leur activité des " indemnités de fonction" prévues par les textes.
Notre ville a envoyé par un vote au conseil municipal les six élus suivants: M Brezellec, M Blanc, Mme Kervoelen , Mme Poignonnec, Mme Quéré et M Tanon.
Parmi nos représentants, les cinq premiers reçoivent des indemnités de fonction de notre municipalité et M Brezellec voit les siennes augmentées par son titre de Vice président du "Sudgoélo".
Sur le montant de ces indemnités, le mode de calcul est accessible à tous sur le net mais sur le montant des sommes réellement perçues, le mystère reste entier.
Entre la gestion du Golf des ajoncs d'or , la piscine du Goélys, la collecte des ordures, en passant par la petite enfance et les services administratifs , une cinquantaine de personnes est employée par la communauté de communes du "Sudgoélo" sous la Présidence de M Raoult et d'un directeur des services.
Trop rarement , pour ne pas dire jamais, nos élus en responsabilité au "Sudgoélo"sont bavards sur leur activité , on attend encore un compte-rendu de leur travail à la communauté de communes lors des conseils municipaux de notre commune.
Il reste pour les curieux , pour ceux qui imaginent encore que la C.C du "Sudgoélo" peut rendre la vie meilleure sur ce côté de la baie de Saint Brieuc, la lecture du blog de la communauté.
Depuis le 20 juillet 2010, il est muet !!!
Fin décembre 2010 , rapport à l'achat par le"Sudgoélo" des chantiers Pacalet pour agrandir l'école de voile maintenant communautaire , m'étonnant de cette carence d'information , on m'a rapporté que la personne en charge de la mise à jour des informations sur le blog était indisponible.
En bon garçon, j'ai adressé mes voeux de rétablissement à cette personne tout en marquant ma surprise quant à l'absence de continuité de ce service d'information.
Pour calmer mon attente, on a promis de m'envoyer par retour de courrier la délibération fixant les conditions d'achat de ce chantier.
Quinze jours ont passé et toujours rien, j'ai de nouveau téléphoné au centre administratif à Etables sur mer et là pour entendre une nouvelle version sur le silence du blog.
Il est en "reloocking "depuis six mois et pas le moindre avertissement sur le site actuel.
Plus l'information circule rapidement grâce à l'usage d'Internet et plus les services de communication de notre ville et ceux de la communauté de communes ont du mal à informer rapidement les citoyens.
Mesdames , Messieurs les élus du "Sudgoélo" et de la ville de Saint Quay font une rétention de l'information , ils n'aiment pas trop la curiosité des populations sur leur travail et sur l'exécution de leurs promesses électorales.
Pour tous les élus indemnisés pour leur fonction, il serait grand temps que leur activité se fasse en toute transparence.
Et surtout qu'ils n'oublient pas que l'électorat a soif d'information.

JOUNENT michel


samedi 1 janvier 2011

dure est la loi... 01/01

DURA LEX SED LEX...



La loi s'applique à tout le monde et en particulier à ceux qui sont sensés l'appliquer.
Le vote de la délibération N° 10/117 visant à acquérir les fonds des murs d'un commerce de presse pour 100 000 € HT et de l'engagement des gérants à signer un bail 3/6/9 avec un loyer de 5 000 € HT annuel hors charges , crée un doute sérieux sur la légalité de la décision.
Je me suis adressé au Tribunal Administratif de Rennes en joignant 2 requêtes:
• une requête en référé.
• une requête au fond.
Plusieurs considérations me conduisent à penser que les dispositions légales et réglementaires sont violées.
Le dossier est complexe, technique et jurisprudentiel.
J'ai obtenu toute l'aide nécessaire de G Lambotte (licencié en droit), pour comprendre les risques que faisaient courir au commerce en général une telle décision.
Le juge des référés du T.A de Rennes a fixé l'audience au 21 Janvier 2011 pour examiner cette affaire qui m' oppose à la commune de Saint Quay Portrieux.

JOUNENT michel